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ensée. Le phénomène religieux, au sens très large
où
je l’entends, inclut certaines recherches subversives de la poésie d’
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ste aussi grand ou juste aussi petit que lui, par
où
il pourra se glisser vers la vérité qui l’attend, et qui était réserv
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ire entrevoir quelques difficultés inextricables,
où
cette affirmation jette non seulement la pensée de ses auteurs récent
4
ieu n’existe pas, et bien plus, qu’il est mort. D’
où
peut lui venir cette passion de la responsabilité ? D’une volonté d’a
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ue Sartre vient de joindre le camp du communisme,
où
naguère encore on le traitait de rat visqueux, ou d’une manière plus
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la phrase « Dieu est mort » est un non-sens. Car
où
bien « Dieu » ne signifie rien — et dans ce cas il ne peut pas mourir
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ment précis, dans le temps et dans l’espace (mais
où
et quand ?), un événement cosmique sans précédent, « un événement con
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de vivre et de penser selon sa foi dans un monde
où
tout nie la foi, dans un monde qui l’ignore plus ou moins sereinement
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moins sereinement, ou pire encore : dans un monde
où
le christianisme n’est accepté ou au contraire ridiculisé que sous la
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s traditionnelles, dans ses caricatures, bref, là
où
il n’est pas. En effet, certains l’acceptent comme une garantie de l’
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ais elle peut être un bien, aussi, dans la mesure
où
elle détruit l’équivoque entre la religion naturelle et la foi, par s
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Tous ces mots perdent leur réalité dès l’instant
où
l’on déclare que Dieu n’existe pas ici et maintenant. Car alors, l’en
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ans une espèce d’indifférence vaguement inquiète,
où
tout est permis, où il n’y a pas de sanctions, mais pas non plus d’or
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ifférence vaguement inquiète, où tout est permis,
où
il n’y a pas de sanctions, mais pas non plus d’ordres donnés. Ainsi l
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fois exacte et privée de sens. C’est un portrait
où
tout est juste, dans le détail, mais l’impression d’ensemble est faus
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, s’il n’y a pas d’au-delà. Si Dieu n’existe pas,
où
est la vérité ? Elle est dans l’idéal ou dans le système des plus for
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religieuses, au sens naturel de ce terme, au sens
où
l’on dit à juste titre : il faut une religion pour le peuple. Cependa
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ce siècle athée, nous avons à dresser des églises
où
l’on adore en fait la transcendance, et où l’on parle à notre temps d
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glises où l’on adore en fait la transcendance, et
où
l’on parle à notre temps de ses problèmes, mais au nom de ce qui les
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piétisme, l’un se manifestant presque toujours là
où
c’est l’autre qu’on devait attendre. Je disais tout à l’heure que la
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galement, il me semble qu’on les a sécularisés là
où
il ne fallait pas, et rendus ésotériques quand il fallait les rendre
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église. Maintenant, si nous sortons du sanctuaire
où
nous venons d’adorer ensemble le transcendant, celui qui juge et sauv
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e d’un chrétien hors de l’église, c’est-à-dire là
où
il s’agit non plus d’adorer Dieu mais d’informer et de convaincre des
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en doute les pseudo-certitudes du siècle. Car là
où
la transcendance est niée, comme chez les totalitaires, il n’y a plus
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rticulièrement frappant dans les pays protestants
où
le souci de rattacher tout travail de culture à une théologie stricte
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et complète. Elles auront autorité dans la mesure
où
elles interviendront au nom de leur théologie. Elles auront autorité
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ui confère une dignité inaliénable dans la mesure
où
il obéit à cet appel. C’est le principe fondamental de tout ordre soc
28
amnera le système du capital privé dans la mesure
où
le mouvement des biens de la puissance matérielle y est fonction des
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tauration liturgique dans le monde d’aujourd’hui,
où
les Églises sont minoriséesam. Mais ce qui me paraît hors de doute, c
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culte est pris dans une situation existentielle,
où
il se sent mis en question d’une manière plus fondamentale. Même s’il
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déborde ici singulièrement le culte des images d’
où
elle tire son nom. Elle embrasse tout ce qui n’est pas foi, mais vue,
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r. Que devient en effet la culture, dans un monde
où
n’est tolérée que « la seule chose nécessaire ? » L’homme qui a une
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de l’Occident chrétien sera grande dans la mesure
où
elle sera biblique ou grecque, sublime dans la mesure où la synthèse
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sera biblique ou grecque, sublime dans la mesure
où
la synthèse des deux traditions sera dominée par l’élément biblique.)
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» — cela condamne la mythologie et la fabulation,
où
les Aryens puisent leur art de tromper et de se satisfaire d’illusion
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che le capitalisme à des attitudes religieuses, d’
où
serait partie l’impulsion, attitudes analogues en ceci tout au moins
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le d’Israël. Tout dépend de lui, et il refuse ! D’
où
la haine sourde, et en même temps le respect religieux qu’on lui port
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dans un volume intitulé Penser avec les mains ,
où
l’on trouvera un raccourci de la présente étude. Du point de vue de l
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duction abstraite… » (Renan, op. cit., I, p. 49).
Où
Renan voit un obscurcissement, je vois le gage d’une vive actualité,
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i moins fécond à observer.bb 2. Depuis les temps
où
la philosophie n’était que la servante de la théologie, ses efforts d
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dant comment en nier l’importance, dans un siècle
où
la littérature exerce sur le public cultivé un empire comparable à ce
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es hypothèses de travail. 5. L’ignorance générale
où
sont les écrivains modernes des rudiments de la théologie a pour cons
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octrine fut reprise par les auteurs du Tristan, d’
où
sont issus presque tous nos romans, étaient nourris de l’hérésie mani
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gique parfaitement cohérente et intransigeante, d’
où
son influence profonde et indéniable sur Ibsen, sur Unamuno, sur Rilk
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respecter qu’en vertu d’une espèce de préjugé. D’
où
l’on pourrait déduire, soit dit en passant, la vanité totale des tent
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artiste remplit bien sa mission 1. dans la mesure
où
il est bon artisan, et 2. dans la mesure où ses ouvrages signifient d
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esure où il est bon artisan, et 2. dans la mesure
où
ses ouvrages signifient d’une manière efficace. Ceci appelle, naturel
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osé bon artisan remplit sa mission dans la mesure
où
ses ouvrages : provoquent chez les spectateurs, lecteurs ou auditeurs
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dépasser le stade de totale inculture théologique
où
nous les voyons aujourd’hui. C’est dans cette perspective que je vais
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tant, est un fait d’expérience indéniable. Mais d’
où
vient-elle ? Ce que Paul Valéry appelle « les dieux », sans se compro
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e réponds vraiment à un appel venu d’ailleurs ? D’
où
vient la voix ? Qui parle ? Moi, ou l’Autre ? Telle est la situation
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Ce choix qu’on peut dire « libre » dans la mesure
où
il n’est plus prédéterminé ou limité par des règles collectives, ce c
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à l’éditeur d’un magazine américain d’un article
où
je voulais décrire l’extraordinaire inflation du love interest dans l
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nos mœurs occidentales, dans l’atmosphère morale
où
baignent l’immense majorité de nos contemporains, le mariage (et donc
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sentiment tout en lui refusant l’accomplissement
où
il s’apaiserait. Il semble que la violence de la passion soit en rais
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onde occidental la contagion de l’amor de lonh, d’
où
devaient sortir pendant des siècles tous nos poèmes et nos romans, co
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qui la porte débouche trop vite dans la réalité,
où
il s’enlise. « Ce n’est pas Amour, qui tourne à la réalité », écrivai
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Or l’évolution générale des mœurs, dans les pays
où
elle se produit librement « tourne à la réalité », précisément. Le mo
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s dans la rue. Nous touchons aujourd’hui au point
où
la romance, loin d’être un état d’exception délicieusement intéressan
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erait une erreur, car elle fascine dans la mesure
où
elle constitue un interdit, et meurt lorsqu’elle est universellement
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i donc parle-t-on lorsqu’on parle de communisme ?
Où
le prendre ? En quoi peut résider l’identité d’une doctrine qui préte
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érialiste », au sens vulgaire, que dans la mesure
où
la mentalité de l’époque peut être qualifiée — et se qualifie elle-mê
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t les lois d’un monde qu’il condamne ! Car alors,
où
serait son refus ? Et quelle preuve aurions-nous de sa transformation
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là ce que pensent les marxistes, mais c’est aussi
où
apparaît leur erreur initiale sur l’homme. Leur ignorance ou leur ave
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porter mon péché et ses effets dans le monde réel
où
vivent les hommes — où meurent les hommes. Reproches réciproques q
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effets dans le monde réel où vivent les hommes —
où
meurent les hommes. Reproches réciproques que s’adressent les chré
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la, s’il a pu paraître cela, c’est dans la mesure
où
le christianisme, aux yeux des masses, n’a plus osé se montrer chréti
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rinale, intrinsèquement, et dans la mesure exacte
où
l’on est un marxiste convaincu, non point dans la mesure où l’on trah
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t un marxiste convaincu, non point dans la mesure
où
l’on trahit le marxisme, on fait une erreur fatale, irrévocable, aujo
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transformation, nécessaire dans tous les domaines
où
son activité peut se développer38. Mais le marxiste, quelles que soie
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on péché, « changé », sorti du plan, précisément,
où
le marxisme le maintient. Moyens d’action du chrétien et du marxis
72
a grosse majorité des communistes suit Staline. D’
où
il résulte à l’évidence que pour la grosse majorité des communistes,
73
uniste ou de militer en sa faveur : l’alternative
où
il se place est sans issue. Car ou bien il accepte les disciplines d’
74
re aujourd’hui, dans un ordre non socialiste. Par
où
l’on voit qu’en dépit du langage, la transcendance de la foi chrétien
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de François Ier, c’est-à-dire jusqu’à une époque
où
la passion totalitaire des gouvernants n’avait pas encore pu s’affirm
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ésistance déclarée que dans les pays calvinistes,
où
la notion de l’autonomie des groupes reste vivace (Angleterre, Écosse
77
s chrétien, vers une économie sauvée : le Royaume
où
Dieu est « tout en tous ». Si les Églises chrétiennes ont à souffrir
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ent qu’elles en sont responsables, dans la mesure
où
elles cédèrent, jadis, aux tentations théocratiques ou séculières. Si
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e nous en sommes les responsables, dans la mesure
où
nous cultivons un esprit détaché du réel, une liberté abstentionniste
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sens qu’on retrouve les mêmes mécanismes partout
où
l’esprit démissionne ! 33. « Je ne vois jamais le christianisme deve
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lieu de l’apaiser, excite encore son appétit. Par
où
l’on voit que l’esprit de recherche n’est pas un instinct animal, mai
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dictions morales, intellectuelles et pratiques. D’
où
vient cette inquiétude fondamentale ? D’où, ce désordre permanent que
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ues. D’où vient cette inquiétude fondamentale ? D’
où
, ce désordre permanent que les meilleurs esprits déplorent depuis des
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dra réel aux yeux des peuples qu’à partir du jour
où
il sera capable de répondre avec force et autorité aux questions poli
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. Leur action fut puissante dans la mesure exacte
où
elle fut l’expression directe de leur être. Si le mouvement œcuméniqu
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propose de surmonter. C’est dans la mesure exacte
où
les Églises ont voulu transformer la foi à l’Una Sancta en une assura
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tion ou de doctrine), c’est dans la mesure exacte
où
elles ont douté d’une union par essence incontrôlable, qu’elles ont p
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hodoxie de l’Église se « ferme » sur elle-même. D’
où
les schismes nombreux, dès cette époque, dans les Églises calvinistes
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vide social. C’est une sorte d’angoisse diffuse d’
où
naît l’appel à une communauté nouvelle et plus solide, où l’individu
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l’appel à une communauté nouvelle et plus solide,
où
l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent, et où l’É
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olé retrouve des contraintes qui le rassurent, et
où
l’État reprend sa puissance. C’est Rome alors qui nous donnera le sym
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glise primitive, dans la perspective sociologique
où
nous nous plaçons ici ? Une communauté spirituelle formée de communau
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équilibre, il y a un principe vivant d’union. Là
où
est l’Esprit, là est la liberté, mais là aussi est la vraie communion
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ion, une doctrine et une tactique nouvelles. Mais
où
sont-elles ? Qui les prépare ?bs La seule espérance et aussi la seul
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u’il demande. Dans l’état d’impuissance apparente
où
se voient aujourd’hui les Églises, si cette foi seule demeure, elle s
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(Les partis socialistes subsistant dans les pays
où
les Soviets ne règnent pas, sont en voie de divergence et non de conv
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groupe d’opérateurs, signifie simplement, partout
où
elle fonctionne, la suppression de la condition prolétarienne. Généra
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plénitude conquise. D’ailleurs, dans l’hypothèse
où
le progrès réussirait, où nos besoins terrestres se tiendraient pour
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leurs, dans l’hypothèse où le progrès réussirait,
où
nos besoins terrestres se tiendraient pour comblés, ce n’est pas seul
100
La nature de l’homme est de dépasser la Nature. D’
où
je conclus qu’une religion qui aurait à redouter la réussite du progr
101
s tantôt rivaux tantôt coalisésbw) dans la mesure
où
il se présente aux yeux du monde non seulement comme vérité révélée,
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istianisme est aussi une idéologie dans la mesure
où
il reste lié à une culture déterminée qui a sa source historique en E
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e et Caucase, Égypte et Éthiopie) puis en Europe,
où
il s’est organisé en calquant les structures de l’Empire romain d’Occ
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ellence de l’Europe et de ses conquêtes. Au seuil
où
nous voici, d’une histoire du monde presque subitement unifiée par le
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lus profonde que nos contemporains ne le croient)
où
le christianisme a suscité, catalysé et qualifié d’une manière décisi
106
r, et donc rendre communicable. 2. Dans la mesure
où
le culte communautaire reste une part essentielle du christianisme, i