1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
1 nirs bibliques et liturgiques ?al Liturgie et œcuménisme J’admets qu’on puisse discuter longuement d’un point de vue strict
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
2 rial qui anime l’Église de Rome. Le grand souci d’ œcuménisme , que nous voyons gagner toutes les Églises, est une promesse à laquel
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
3 principes qui sont impliqués dans la vision de l’ œcuménisme . Rien que cela, mais tout cela, avec confiance, mais aussi avec une i
4 elle personnalisme. La santé religieuse s’appelle œcuménisme . Nous allons définir ces trois termes en insistant sur leur liaison f
5 Notre thèse étant la suivante : la théologie de l’ œcuménisme implique une philosophie de la personne dont l’application est une po
6 se. Le principal est celui-ci : la théologie de l’ œcuménisme subsiste et tombe avec la foi dans l’union des chrétiens en Christ, c
7 evons affirmer dès maintenant : la théologie de l’ œcuménisme considère que la diversité des vocations divines n’est pas une imperf
8 oit être au moins rappelé ici : la théologie de l’ œcuménisme ne vise pas à démanteler les orthodoxies existantes, dans les diverse
9 vidu dans le plan de la société. Et de même que l’ œcuménisme retrouve la position spirituelle centrale qui fonde l’union dans la d
10 droits des parties. De même que la théologie de l’ œcuménisme prévient d’une part l’orthodoxie fermée, d’autre part la dissidence o
11 n », est également valable sur ces trois plans. L’ œcuménisme exclut l’orthodoxie fermée, créatrice de schismes, et la dissidence o
12 locaux (région, commune, entreprises, etc.) et l’ œcuménisme reconnaît pareillement leur valeur (Églises diverses, paroisses, ordr
13 artenances — qui trouverait son équivalent dans l’ œcuménisme ecclésiastique — est exclue par le régime totalitaire, qui prétend fa
14 ion même de l’oppression. Le fédéralisme, comme l’ œcuménisme , reconnaît que les diversités régionales sont la vie même de l’Union.
15 s fortes ». Nous pourrions pareillement définir l’ œcuménisme et le fédéralisme en remplaçant « âmes » par « Églises » et par « rég
16 objet était d’établir les relations suivantes : l’ œcuménisme , le personnalisme et le fédéralisme sont les aspects divers d’une seu
17 fédérale. Vouloir le fédéralisme sans accepter l’ œcuménisme , ce serait priver l’organisation politique de ses fondements spiritue
18 que de ses fondements spirituels. Mais accepter l’ œcuménisme sans vouloir également le fédéralisme, ce serait ne pas accepter vrai
19 fédéralisme, ce serait ne pas accepter vraiment l’ œcuménisme , j’entends avec toutes ses conséquences. Car la foi sans les œuvres n
20 ut effort fédératif sérieux. 2. La théologie de l’ œcuménisme , et la philosophie de la personne qu’elle implique, sont les seules b
21 e de combattre !) D’autre part, la théologie de l’ œcuménisme et la philosophie de la personne sont les seules bases actuellement e
22 ictement limitée, rien ne subsiste en dehors de l’ œcuménisme , qui permette de mettre en relations des groupes nationaux non étatiq
23 idu isolé-masse militarisée. 5. La théologie de l’ œcuménisme , la philosophie de la personne et la politique du fédéralisme sont se
24 spersées, c’est un arrière-plan spirituel commun ( œcuménisme ), et une vision précise des liens nécessaires unissant cet arrière-pl
25 arde du mouvement vers l’union, nous ne verrons l’ œcuménisme se réaliser avec puissance que dans l’épreuve missionnaire universell
26 ctuellement de trop graves malentendus et abus. L’ œcuménisme n’a pas à les reprendre à sa charge. Et les peuples européens ne sont
27 1, p. 219-233) puis en français (« Fédéralisme et œcuménisme  », Foi et Vie, Paris, n° 6, septembre-octobre 1946, p. 621-639). Nous
28 héma doctrinal. » bp. « Mission fédératrice de l’ œcuménisme  » dans le texte de 1946. bq. Le texte de 1946 indique : « Et mainten