1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 ion chrétienne de l’homme plongé dans le monde du péché , d’un péché qui existait avant lui mais dont il est responsable pourt
2 ne de l’homme plongé dans le monde du péché, d’un péché qui existait avant lui mais dont il est responsable pourtant, à chacu
3 fférence : si le chrétien choisit mal, à cause du péché , il sait que cela n’affecte pas la vérité : celle-ci subsiste en Dieu
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
4 loi de Moïse maintenait le peuple juif, malgré le péché , dans une économie provisoirement vivable et propre à entretenir l’at
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
5 mouvement du chrétien (qui est sa lutte contre le péché ) les plus frappantes analogies ? Sur ce plan seul, il m’apparaît qu’u
6 issance d’une corruption fondamentale, qui est le péché originel. Il s’ensuit que pour le marxiste, aussi bien que pour le ch
7 ine et le but de sa vie : il connaît dès lors son péché , tout ce qui l’écartait de sa voie. Mais il se connaît du même coup r
8 homme, qui était son roi, et qui a trahi. Et tout péché individuel répète et aggrave cette faute. Ainsi : conscience du péché
9 ète et aggrave cette faute. Ainsi : conscience du péché , connaissance de la fin et de l’origine, obligation d’agir pour rache
10 si je connais mon salut, je ne puis supporter mon péché et ses effets dans le monde réel où vivent les hommes — où meurent le
11 à l’existence, tout le malheur dont en vérité le péché de chacun est responsable. L’observation est juste ; elle est insuffi
12 membre d’un corps qui porte toutes les marques du péché . Il est alors en face du monde, et au nom même de sa foi, dans la pos
13 917), il faudrait que l’homme soit délivré de son péché , « changé », sorti du plan, précisément, où le marxisme le maintient.
14 e transformation sociale ? La mort physique et le péché . Mais aussi : la qualité, la fonction créatrice de l’esprit. En somme
15 ction spirituelle (créatrice), et la pesanteur du péché . Tandis qu’à l’inverse, on ne saurait établir que la sécularisation d
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
16 ue pourtant il devrait être saint. Il sait que le péché consiste à être séparé de la Vérité vivante, et que tous les hommes s