1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
1 tent à le croire. Ces Églises, du fait même de la pauvreté de leur culte, se voient plus libres que les autres d’inventer, c’est
2 t de création, au-delà de nos richesses et de nos pauvretés , dans une remise en mouvement générale, que nos divisions actuelles p
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
3 e, et rendue presque vaine par ses excès, avec la pauvreté pleine de sens et de grandeur qu’imposait la Loi d’Israël. Ce que l’o
4 Israël sera pauvre à raison même de sa pureté. Sa pauvreté sera la condition de sa grandeur. Car ce qui est grand, c’est ce qui
5 les moyens mesurés par la fin. C’est pourquoi sa pauvreté même garantit la fidélité de la culture du peuple hébreu. C’est une a
6 ien ; on dirait : un vêtement de travail. Cette «  pauvreté  » philosophique — mais quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin
7 es de l’esprit. Toutefois, non tant à cause de sa pauvreté même, qu’à cause de l’absolu de sa mesure, et de la promesse qu’elle
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
8 tacles mis au divorce d’autre part, et surtout la pauvreté générale, semblent avoir stabilisé provisoirement la situation matrim