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nt religieuse que se trouve ramenée ma pensée. Le
phénomène
religieux, au sens très large où je l’entends, inclut certaines reche
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ité vivante. Or, je constate que de nos jours, le
phénomène
religieux au sens large est tenu pour suspect non seulement par les r
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s conscients. Cette « mort de Dieu », en tant que
phénomène
psychologique et non ontologique, pose des questions très concrètes a
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formules du sacré. Du point de vue de la foi, ces
phénomènes
resteront toujours ambivalents. Il en va tout autrement de la second
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s dernières que nous pouvons le mieux observer le
phénomène
de restauration liturgique, parce qu’il se produit là comme à l’état
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de prendre parti entre ces deux explications d’un
phénomène
économique que par ailleurs personne — non pas même Marx, quoi qu’on
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tres auteurs, tels que Labriola, font remonter le
phénomène
capitaliste à l’« accumulation » de richesses des couvents anglais au
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e maintenant se manifester dans notre siècle ? Le
phénomène
de la « conversion » le fait bien voir. Un homme qui se convertit au
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sion d’une anti-religion totalitaire, mais par un
phénomène
contraire de dispersion individualiste. Autre exemple : l’Angleterre
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table n’est pas là. Mais si nous admettons que le
phénomène
de la « mort de Dieu » reste localisé dans certains milieux très rest
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ières décennies : si l’on compare le rythme de ce
phénomène
de convergence avec celui des phénomènes de divergence qui ont dominé
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hme de ce phénomène de convergence avec celui des
phénomènes
de divergence qui ont dominé l’évolution historico-sociologique du ch
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n tout cas ni rationnelle ni nécessaire, de trois
phénomènes
essentiellement hétéroclites : la philosophie grecque, l’Empire romai
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autres sociologues d’ailleurs agnostiques) que le
phénomène
de la révolution sociale est impensable dansby les régions de l’Asie
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égnation occidentale du christianisme en tant que
phénomène
historico-sociologique. Si, d’une part, il s’agit de montrer aux peup