1
ction politique ou de poésie, si je m’inquiète du
sens
dernier de ce que je vis, écris, ou fais, c’est toujours à certaines
2
uve ramenée ma pensée. Le phénomène religieux, au
sens
très large où je l’entends, inclut certaines recherches subversives d
3
et, Sartre ne prend pas le mot « responsable » au
sens
authentique et littéral de « capable de répondre » (de ses actes et p
4
et pensées devant Dieu ou devant autrui), mais au
sens
de « capable de décider » (de ce qu’on est et sera) ; non pas au sens
5
décider » (de ce qu’on est et sera) ; non pas au
sens
chargé de mission, mais à celui d’aventurier qui assume ses risques e
6
ls et qui les choisit souverainement ; non pas au
sens
de créature, mais bien à celui de démiurge ; non pas au sens d’un hom
7
ature, mais bien à celui de démiurge ; non pas au
sens
d’un homme, mais bien d’un dieu. Ce dernier trait est capital. On sen
8
vient non seulement croyable mais indiscutable au
sens
de chaque vie, dès que le regard se tourne vers l’homme, vers un homm
9
des richesses amassées dans les couvents.h À mon
sens
, le sécularisme consiste à la fois en une action et une attitude. L’a
10
e nous qui ont décidé que le mot Dieu n’a plus de
sens
? Et qui semblent persuadés que les mots Église, salut, vocation, foi
11
ux aspects qu’il ne faut pas confondre : perte du
sens
du sacré et perte du sens de la transcendance. Nous assistons aux der
12
as confondre : perte du sens du sacré et perte du
sens
de la transcendance. Nous assistons aux dernières phases d’une longue
13
Elle peut être un mal si elle prive les hommes du
sens
du mystère, du sens des correspondances naturelles et du sens de la v
14
l si elle prive les hommes du sens du mystère, du
sens
des correspondances naturelles et du sens de la vénération. Mais elle
15
ère, du sens des correspondances naturelles et du
sens
de la vénération. Mais elle peut être un bien, aussi, dans la mesure
16
de sécularisme, celle que j’ai nommée la perte du
sens
de la transcendance. C’est ici que notre analyse doit s’appliquer. Da
17
ndance, l’existentialisme déforme et vide de leur
sens
chrétien les mots-clés qu’il emploie sans cesse, et qu’il sécularise,
18
s — mais non point sans pardon. Son angoisse a un
sens
: elle est dirigée vers Dieu et vers son ordre, comme un appel. Elle
19
hie séculariste est à la fois exacte et privée de
sens
. C’est un portrait où tout est juste, dans le détail, mais l’impressi
20
mme de répondre. Nous pourrions nous livrer à des
critiques
du même genre au sujet d’un grand nombre de notions chrétiennes que l
21
ons, morales, politiques, ou même religieuses, au
sens
naturel de ce terme, au sens où l’on dit à juste titre : il faut une
22
même religieuses, au sens naturel de ce terme, au
sens
où l’on dit à juste titre : il faut une religion pour le peuple. Cepe
23
orme indirecte du témoignage. Elle consiste à mon
sens
, à mettre en doute les pseudo-certitudes du siècle. Car là où la tran
24
ard, ce n’est point par une coïncidence privée de
sens
que les premiers mouvements vraiment totalitaires, dans l’histoire, l
25
trêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des
critiques
de l’extérieur. Renaissance du thomisme et des études mystiques chez
26
Âge, qui fut son œuvre. Il s’agit de restaurer le
sens
de la communauté vivante, que le gigantisme de nos machines administr
27
a vertu ; et qu’elle restaure chez les fidèles le
sens
de la vocation personnelle, seul fondement d’une morale spécifiquemen
28
de sabotage ceux qui maintiennent une attitude de
critique
exigeante ou un sens normal de la justice. En outre, la guerre a touj
29
tiennent une attitude de critique exigeante ou un
sens
normal de la justice. En outre, la guerre a toujours pour effet de dé
30
questions, de conseils, d’idéaux catholiques — au
sens
étymologique du mot — de solutions « totale » dans le domaine de la c
31
ntive à préserver les droits et les devoirs de la
critique
théologique sur tous les plans et pas seulement d’une façon négative
32
aine culturel et social est celle de vocation (au
sens
calviniste et luthérien du mot, qui est plus large que celui dans leq
33
ême l’individualisme est une déviation morbide du
sens
de la vocation car elle nie ses conséquences sociales et communautair
34
quences sociales et communautaires. La principale
critique
que l’on puisse adresser à ce point de vue est la suivante : une idéo
35
ions médiévale et classique leur grandeur et leur
sens
unanime. Nous vivons par exemple dans une grande confusion de morales
36
, justice, démocratie, vérité, prennent autant de
sens
différents — et souvent incompatibles — qu’il y a de standards d’éval
37
ons tous les mêmes mots, mais en leur donnant des
sens
différents. C’est donc le langage lui-même, signe et gage de la commu
38
efficaces. C’est le parti qui dicte le véritable
sens
des mots, recréant ainsi une apparence d’ordre. C’est le parti qui fo
39
ues, donc par inclusion, par un enrichissement du
sens
au profit de son efficacité. En simplifiant pour la symétrie, on pour
40
nt que dans la liturgie leur pleine densité, leur
sens
total, immédiat et concret. (La paix de Dieu qui surpasse toute conna
41
à glorification, etc.aj) En dernière analyse, le
sens
le plus plein de termes devenus par ailleurs si difficiles à définir
42
t bientôt figées, ou n’ont plus varié que dans le
sens
d’un appauvrissement continuel. Mais c’est peut-être l’excès même de
43
6. Vocation et destin d’Israëlaw
Sens
de « l’histoire » d’Israël Un prophète, a écrit Karl Barth, est un
44
l besoin historiquement déterminé… L’histoire, au
sens
hégélien ou tainien, ou matérialiste-dialectique, se donne pour tâche
45
s de leur « histoire » — mais le mot prend ici un
sens
nouveau — c’est la suite des gestes de Dieu dont ils ne furent que le
46
uple et qui seule l’élève, l’assemble et donne un
sens
à la vie de chacun. Ce peuple errait sans « fin » dans le désert, san
47
les noms paganisés d’idéalisme et de réalisme au
sens
courant. Mais le conflit de la foi et de la vue n’est en somme qu’un
48
e préparaît la venue, et qui seul lui donnait son
sens
… Rien ne me paraît plus propre à confirmer cette interprétation de l
49
orgeant une langue singulière au mépris de tout «
sens
» commun, et convoquant enfin, à grands frais d’inventions, la vieill
50
e vaine par ses excès, avec la pauvreté pleine de
sens
et de grandeur qu’imposait la Loi d’Israël. Ce que l’on perd et ce qu
51
bien souverain : l’harmonie dans le dynamisme, le
sens
général de la vie. Si l’on admet que la destination de toute culture,
52
le Messie est venu — et parce qu’elle a perdu son
sens
en condamnant celui qu’elle annonçait. Christ apporte une nouvelle me
53
toute la tradition judaïque. C’est précisément ce
sens
de la continuité historique et de la solidarité sociale qui distingua
54
tient seulement de préciser en quelques traits le
sens
que prend l’héritage d’Israël pour la foi chrétienne protestante. On
55
nt pour cette analogie, ce qui lui donne son seul
sens
acceptable et la situe dans son ordre réel, c’est que, dans les deux
56
s ce nom d’Israël à tout le peuple de Dieu, en ce
sens
, après que les gentils seront entrés dedans (l’Église), lors les Juif
57
s après le Christ. Ainsi la Bible n’a pas d’autre
sens
que de désigner l’Incarnation qui est son centre, au-delà d’elle-même
58
udié, ni par les docteurs de l’Église, ni par les
critiques
littéraires. Et cependant comment en nier l’importance, dans un siècl
59
uter que les théologiens se mettent à faire de la
critique
littéraire, comme il arrive qu’on en lise sous leur nom dans les revu
60
alité ». Mon idée serait bien plutôt d’exiger des
critiques
littéraires un minimum de connaissances théologiques, dont ils se mon
61
rtains d’entre eux se consacrent à l’examen, à la
critique
et même, cas échéant, à une sorte de direction spirituelle des tendan
62
ple : Kierkegaard. Il ne fut pas un théologien au
sens
strict, mais toute son œuvre manifeste une attitude théologique parfa
63
irection de recherches peut-être féconde. 10. Une
critique
théologique de la littérature devra mettre en garde son public contre
64
u tout que l’homme soit capable de créer, au vrai
sens
de ce terme, c’est-à-dire de produire un changement absolu, une nouve
65
les admet : à savoir que cette société a perdu le
sens
du sacré. Bien des civilisations ont existé, et peut-être existeront,
66
puissance, une vertu exaltante ou terrifiante, un
sens
; ils sont pris au sérieux par les peuples qui croient que le sens de
67
ris au sérieux par les peuples qui croient que le
sens
de la vie, la crainte de la mort, l’angoisse devant le pouvoir sacré,
68
ce soit beau ou laid, charmant ou atroce pour les
sens
et l’esprit, peu leur importe : leur but est d’exprimer, de décrire d
69
deux premières, prendra la forme d’un aveu. Je me
sens
incapable de faire usage du concept de beauté en soi. Évidemment, il
70
t donc de signifier ; c’est de rendre attentif au
sens
du monde et de la vie. Bien entendu, ce que l’artiste arrive à signif
71
lement à l’œuvre. Il n’y a pas d’abord un certain
sens
, et ensuite une volonté de l’illustrer par une œuvre. Mais c’est par
72
’est par l’œuvre, et en elle seule, qu’un certain
sens
se manifeste ou se révèle. Les critiques ou le public, ou parfois l’a
73
qu’un certain sens se manifeste ou se révèle. Les
critiques
ou le public, ou parfois l’artiste lui-même essaieront ensuite de « d
74
ste lui-même essaieront ensuite de « dégager » ce
sens
, de l’isoler de l’œuvre par un effort de traduction ou d’abstraction.
75
e traduction ou d’abstraction. Mais en réalité le
sens
est lié à chaque détail comme au tout de l’œuvre — si elle est bonne
76
infiniment plus vrai. La sincérité n’a guère de
sens
en art. Elle n’en a certainement aucune quand il s’agit du métier de
77
au moindre détail — dans la direction et selon le
sens
de ce que l’on désire communiquer. Exprimer un message de vérité, mai
78
ne mission d’artiste bien remplie, c’est qu’à mon
sens
le style naît du conflit entre la première condition — le métier, les
79
dité, le bruit et la fureur des choses privées de
sens
et contées par un homme ivre — je pense à certaines parties de l’œuvr
80
r être égal à sa mission, il devient clair que la
critique
, l’évaluation des œuvres d’art, doit porter d’une part sur le métier
81
sur le métier et les moyens, d’autre part sur le
sens
et la valeur des réalités captées et révélées par ces moyens. C’est d
82
ées et révélées par ces moyens. C’est dire que la
critique
devrait être à la fois technique d’une part, et d’autre part métaphys
83
tion chrétienne sur l’activité de l’artiste Je
sens
bien qu’en parlant d’une critique théologique des œuvres d’art, je ch
84
de l’artiste Je sens bien qu’en parlant d’une
critique
théologique des œuvres d’art, je choquerai non seulement l’immense ma
85
tombe d’accord. Notez que je ne dis pas que cette
critique
théologique serait nécessairement l’affaire des théologiens. Ils y so
86
ce qui est exprimé, tout en le manifestant à nos
sens
. Car ce qui est exprimé n’est pas séparable des moyens de l’expressio
87
e qui montre est, en même temps, ce qui cache. Le
sens
d’un tableau, par exemple, n’est pas distinct des couleurs, des forme
88
sentent ? Et n’aurait-on pas là le principe d’une
critique
théologique du développement des arts ? Il est certain que si c’était
89
ntredire. Il me semble que des tentatives dans ce
sens
vaudraient la peine d’être risquées — par des laïques en premier lieu
90
du mariagebd Puisqu’il n’y a pas de famille au
sens
occidental du terme, sans un mariage à l’origine, il est clair que to
91
est la durée. Or il se trouve que la durée est le
sens
même, la raison d’être du mariage, du point de vue de la famille et d
92
délité véritable : la durée « pour la vie » et le
sens
d’un destin assumé (ou subi) « advienne que pourra ». La romance, au
93
aptes à établir un ordre tolérable : restaurer le
sens
du serment (actuellement dévalorisé, tandis qu’on valorise à ses dépe
94
une évolution bien différente, plus normale en ce
sens
qu’elle s’opère librement mais sans doute plus profondément révolutio
95
l’émancipation de la femme agissent dans le même
sens
. C’est que la romance, comme la vraie passion, a besoin pour s’enflam
96
de la famille puis sa réfection systématique ; la
critique
acerbe de la SDN puis l’entrée dans cet organisme ? Tout cela peut s’
97
soyez transformés par le renouvellement de votre
sens
, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est b
98
. En particulier, elle n’est « matérialiste », au
sens
vulgaire, que dans la mesure où la mentalité de l’époque peut être qu
99
— et se qualifie elle-même — de spiritualiste, au
sens
le plus contestable du terme. Quelle était, du point de vue religieux
100
ée dans l’homme pour être atteinte par une simple
critique
philosophique28. Or cette critique philosophique est la seule arme do
101
par une simple critique philosophique28. Or cette
critique
philosophique est la seule arme dont il disposerait sur le plan de l’
102
confusion irrémédiable que de parler dans le même
sens
d’une « doctrine » du christianisme. Le chrétien, et surtout le prote
103
u, selon l’Évangile, est un homme qui a changé de
sens
. Il est orienté autrement, comme l’indique le mot conversion. Obéissa
104
festerait pas ? La transformation personnelle, au
sens
total de l’Évangile, ne peut donc se traduire, si elle s’est faite, q
105
ire la conscience de son origine et de sa fin, du
sens
même de son action, de sa pensée, de sa vie corporelle ! Précisons, c
106
s à côté de ce qui est essentiel chez Marx. Je ne
critique
pas une erreur contingente. Je ne dis pas : vous n’êtes pas assez mar
107
Erreur sur la personne — dans mon vocabulaire. Ma
critique
porte sur l’essentiel du marxisme, alors que la critique marxiste por
108
e porte sur l’essentiel du marxisme, alors que la
critique
marxiste porte sur un christianisme dénaturé. Et l’essentiel du marxi
109
, c’est-à-dire Barth et Marx !35 C’est ici qu’une
critique
proprement théologique se révèle seule capable de marquer les limites
110
u communisme n’est justiciable, en soi, que d’une
critique
politique, économique, historique, etc.36 Et je ne vois pas que le ch
111
ce qui tombe directement sous le coup de la seule
critique
théologique, ce sont les buts derniers du communisme et les postulats
112
e la Terre. Tous deux sont eschatologiques, en ce
sens
qu’ils rapportent leur accomplissement à un état dernier et invariabl
113
et abstrait » (Thèses sur Feuerbach). 24. Marx,
Critique
de la philosophie hégélienne du droit. 25. Au sens le plus large du
114
ue de la philosophie hégélienne du droit. 25. Au
sens
le plus large du terme, qui peut désigner aussi bien la « société san
115
polémistes ignorants, ou qui jouent sur les deux
sens
du mot œuvres (œuvres pies et action concrète). 27. Je parle, bien e
116
vu le grand réveil piétiste. 28. « L’armée de la
critique
ne peut évidemment remplacer la critique des armes » (Marx, Critique
117
ée de la critique ne peut évidemment remplacer la
critique
des armes » (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en
118
idemment remplacer la critique des armes » (Marx,
Critique
de le philosophie hégélienne). Il faut en user, certes, mais elle ne
119
Christ. La « doctrine » n’est ainsi qu’une mesure
critique
que l’Église prend de son message sous le rapport de sa fidélité à so
120
ients. Certes il y a des lois de l’histoire en ce
sens
qu’on retrouve les mêmes mécanismes partout où l’esprit démissionne !
121
Révolution nécessaire, par Aron et Dandieu, et sa
critique
de la notion d’échange chez Marx.) 37. « Les pharisiens lui ayant de
122
opium. Un tel fait donne raison en apparence à la
critique
marxiste. En vérité, il ne donne tort qu’à l’homme, non à la foi dont
123
e les ordres. 39. Je prends l’expression dans ce
sens
, qui n’est pas le sens jésuite courant : que la fin seule doit indiqu
124
rends l’expression dans ce sens, qui n’est pas le
sens
jésuite courant : que la fin seule doit indiquer les moyens justes qu
125
use à lui donner. Ayant ainsi tenté de définir le
sens
dernier de la recherche en général, je me tournerai maintenant vers l
126
les circonstances à leur dessein. Dans un certain
sens
, nous dirons qu’ils partaient sans cesse d’eux-mêmes, de leur foi ou
127
omme nécessaire au salut. Mais je rappellerai les
critiques
que Karl Barth adressait à l’orthodoxie protestante du xviiie siècle
128
ndre un mot déjà connu, mais auquel on donnera un
sens
nouveau. Pour désigner les relations constituant la Trinité, les doct
129
e et en relation. Ainsi, le mot personne avec son
sens
nouveau, et la réalité sociale qu’il désigne, sont bel et bien des cr
130
complets, séparés, et par là même déformés. À mon
sens
, le fédéralisme est la seule possibilité pratique de réaliser la vrai
131
13. La fin du pessimismebu Le fameux
sens
de l’histoire, argument numéro 1 de la séduction progressiste, parais
132
dapest. Sa faculté de revendiquer et d’imposer un
sens
positif à la vie, niée par Kafka, s’est attestée dans le soulèvement
133
ée impuissante, d’une réalité terrifiante et d’un
sens
fatal de l’Histoire, dont Big Brother sera l’aboutissement. J’ai tu j
134
contestaient leurs arguments. Il s’agit, au plein
sens
des termes, d’un succès de scandale, d’un choc profanateur, d’un renv
135
e d’eux qu’ils ont « fait leur temps », au double
sens
de l’expression. Que Freud soit dépassé dans son propre domaine, et s
136
ateur. Et la question n’est plus de supputer le «
sens
inévitable » de l’Histoire, mais de la faire. L’utopie masochiste d’
137
ît trop tire les ficelles. Cessons de chercher le
sens
de l’Histoire, alibi du refus de notre vocation ; apprenons à le déci
138
’homme. Le problème de la liberté. Le problème du
sens
de nos vies… Je propose à nos philosophes du déclin de la bourgeoisi
139
râce et la prière d’intercession garderont-ils un
sens
pour des humains comblés ? » Il serait trop facile de répondre que le
140
t, à des réalités historiques et « mondaines » au
sens
paulinien. Dans cette mesure, il ne saurait refuser la question que l
141
ue le magisme catholique, et pas plus chrétien au
sens
strict. Si le sacralisme d’origine païenne est la tentation naturelle
142
r point, pas de doute. Une combinaison vivante du
sens
fédéraliste protestant et du sens universaliste catholique serait de
143
ison vivante du sens fédéraliste protestant et du
sens
universaliste catholique serait de nature à protéger les uns de l’ind
144
catholiques ; la renaissance de la liturgie et du
sens
de l’Église chez les protestants ; la découverte des réalités sociale
145
se réclamaient de principes plus chrétiens à leur
sens
que ceux auxquels l’Église s’était attachée et au nom desquels elle l