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nt de ceux qui émeuvent le plus profondément la «
sensibilité
spirituelle » d’un réformé.ay Le simple fait que le calvinisme ait
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n spécifique de capter l’attention, d’aimanter la
sensibilité
, de fasciner la méditation, de la prendre au piège, — et en même temp
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ctement et avec astuce ses pièges à méditation, à
sensibilité
, à imagination. Appelons tout cela, c’est-à-dire l’ensemble des procé
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e à la pensée, aux rythmes quotidiens, voire à la
sensibilité
des peuples qui cependant ignorent ses dogmes, ou même les refusent,