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ut affirmer sans un orgueil borné qu’au cours des
siècles
, des millénaires ou des millions d’années à venir, il ne changera pas
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rès concrètes aux chrétiens. Comment affronter ce
siècle
qui veut se limiter à lui-même et ne croit plus au « siècle des siècl
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veut se limiter à lui-même et ne croit plus au «
siècle
des siècles »i. Quelle est la forme que doit revêtir l’évangélisation
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miter à lui-même et ne croit plus au « siècle des
siècles
»i. Quelle est la forme que doit revêtir l’évangélisation de notre ép
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ries, ou de fuites devant la réalité ? En face du
siècle
pratiquement athée dans ses coutumes, théoriquement athée dans ses do
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demander le bon usage de cette maladie qu’est le
siècle
, et dont nous sommes tous les victimes. Un siècle qui se limite à l
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ècle, et dont nous sommes tous les victimes. Un
siècle
qui se limite à lui-même Commençons par décrire la maladie. La plu
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alystes chrétiens partent de l’idée banale que ce
siècle
est très spécialement mauvais, et qu’il est moins chrétien que d’autr
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plus à nos craintes et à nos ressentiments qu’au
siècle
lui-même, dans sa forme réelle. J’essaierai d’éviter ce travers autan
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’humanité du xxe siècle ne croit plus qu’au seul
siècle
présent, à l’ici-bas limité à lui-même. Elle supprime donc la dimensi
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croyance, ou plutôt l’incroyance fondamentale du
siècle
ait trouvé une formulation aussi cohérente. Il faut y voir un grand p
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s à prendre vraiment au sérieux les conditions du
siècle
, s’il n’y a pas d’éternité. De même que les existentialistes nous don
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ions longuement entretenues entre les intérêts du
siècle
et les prétextes pieux ont disparu. Si Dieu n’est pas, tout m’est per
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tendent dans l’adoration et la prière la venue du
siècle
des siècles. Et la morale que ces Églises et leurs fidèles défendent
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s l’adoration et la prière la venue du siècle des
siècles
. Et la morale que ces Églises et leurs fidèles défendent est celle de
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nt. C’est une morale tournée tout entière vers le
siècle
— vers le xixe siècle spécialement ! – et qui ne semble plus faire d
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ils ont la morale. Mais cette morale est celle du
siècle
, en fait, et je le répète : du xixe siècle bourgeois. Autre exemple
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istianisme est le meilleur système de vie dans le
siècle
, celui qui peut empêcher les grèves, maintenir la santé, et favoriser
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de collaborationnistes. Car après avoir flatté le
siècle
, par toute leur attitude et par la forme même de leur pensée, lorsqu’
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pose devant nous, au xxe siècle. D’une part, le
siècle
a pris conscience de lui-même. Il a osé tirer les conséquences de son
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part, les Églises se trouvent placées, devant ce
siècle
, dans une position à la fois absurde et faible. Absurde parce que tou
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vaise foi par les systèmes qui triomphent dans le
siècle
. Faible, parce qu’elles agissent comme si la transcendance n’était pa
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nt net et clair que nous portent les doctrines du
siècle
nous offre une chance inespérée, peut-être la plus grande de toute l’
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individuelle, à l’énorme travail collectif que le
siècle
attend de l’Église.q Réponses chrétiennes au sécularisme Quand
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à-dire qu’il ne s’agit pas pour nous d’opposer au
siècle
un transcendant verbal, pur et isolé, mais au contraire un transcenda
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nt pose la question suivante : — Pour agir sur ce
siècle
athée, faut-il nous séculariser à notre tour, nous adapter, ou au con
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celle que nous pratiquons aujourd’hui. Devant ce
siècle
et dans ce siècle athée, nous avons à dresser des églises où l’on ado
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atiquons aujourd’hui. Devant ce siècle et dans ce
siècle
athée, nous avons à dresser des églises où l’on adore en fait la tran
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ôtre Pierre. De plus, si nous voulons agir sur le
siècle
, il nous faut d’abord commencer par exister, et un chrétien n’existe
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emble le transcendant, celui qui juge et sauve le
siècle
, nous voici dans la rue ou sur la place, dans le siècle qui nie qu’au
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, nous voici dans la rue ou sur la place, dans le
siècle
qui nie qu’aucun Dieu ne le juge, qui nie qu’aucun Dieu ne le sauve,
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sérieuse à ce défi. Comment manifester devant ce
siècle
, que nous croyons au siècle des siècles ? J’en suis arrivé à penser q
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manifester devant ce siècle, que nous croyons au
siècle
des siècles ? J’en suis arrivé à penser que le témoignage d’un chréti
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devant ce siècle, que nous croyons au siècle des
siècles
? J’en suis arrivé à penser que le témoignage d’un chrétien hors de l
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pas que nous devions essayer de rivaliser avec le
siècle
sur ce plan-là. Je pense que nous avons au contraire à énoncer simple
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persuasion du plus grand nombre. Laissons donc au
siècle
ses méthodes de propagande, qui ne conviennent pas à la certitude. Et
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sens, à mettre en doute les pseudo-certitudes du
siècle
. Car là où la transcendance est niée, comme chez les totalitaires, il
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scendant, nous douterons de ces nécessités que le
siècle
vénère sous le nom de lois, et qu’il a fabriquées lui-même, pour évit
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donc aussi celui qui doute des faux absolus de ce
siècle
. Il est celui qui doute au nom de sa foi. J’ai décrit rapidement quel
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premiers régimes limitant l’homme totalement à ce
siècle
et à l’ici-bas, sont apparus presque en même temps que la première po
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possibilité concrète de détruire par nos mains ce
siècle
et l’ici-bas. Je parle de la bombe atomique. À peine les hommes avaie
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3. L’opportunité chrétiennev Depuis des
siècles
, depuis la Renaissance, le christianisme a vécu sur la défensive. Les
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moins en moins — et non de plus en plus, comme au
siècle
passé — à mettre en doute la vérité et la validité des dogmes chrétie
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relations humaines viables, comme elle le fit aux
siècles
sombres, avant la floraison du Moyen Âge, qui fut son œuvre. Il s’agi
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ie. Je voudrais une sociologie chrétienne pour le
siècle
. 2° Que l’Église offre un type de relations culturelles viables ; qu’
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ges », nous disaient les prédicateurs depuis deux
siècles
. « Soyez fous ! », dit saint Paul aux Corinthiens. « Osez être l’invr
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evêt une importance politique capitale dans notre
siècle
: il peut offrir le modèle même d’une union mondiale dans le respect
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perd ses moyens les plus efficaces d’agir sur le
siècle
, de transformer ses croyances en action créatrice. Les forces de créa
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liturgie originale, après avoir subi depuis deux
siècles
un appauvrissement parfois comparable à celui des Églises calvinistes
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Tout le monde le sent, beaucoup l’ont dit : notre
siècle
n’a plus de véritables loci communes. Il a perdu cette commune mesure
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tion liturgique semble presque arrêtée depuis des
siècles
. La messe romaine a été subitement fixée après le concile de Trente,
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esponsable dans l’innovation. Le vrai problème du
siècle
est celui de la communauté. Il est lié à celui d’un langage commun. L
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ques fortement développées dans leur race par des
siècles
d’attente du Messie, sont les plus susceptibles de déformer leur prop
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puissance abstraite (les fondateurs des trusts au
siècle
dernier), d’autre part en utilitarisme platement moralisant ; l’une e
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t cependant comment en nier l’importance, dans un
siècle
où la littérature exerce sur le public cultivé un empire comparable à
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va-t-on laisser certaine élite intellectuelle du
siècle
sans nul secours ? Va-t-on lui tourner le dos parce qu’elle est tapag
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cés », et ne tolère que le mauvais art du dernier
siècle
? Au lecteur convaincu comme moi de la nécessité de rétablir des pont
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formé la langue des poètes depuis près de quatre
siècles
, et dont le rôle dans l’histoire des lettres anglaises s’avère capita
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lier, un produit chimique, une photo. Depuis deux
siècles
environ, on a coutume de répondre à cette question d’une manière simp
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uments dialectiques employés depuis près de vingt
siècles
par les théologiens de la Trinité, toute une problématique dont je re
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l’état larvé dans le monde occidental depuis des
siècles
, atteint de nos jours une phase aiguë qu’un seul chiffre suffit à car
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tan et Iseut, un peu plus tard, va fixer pour des
siècles
le modèle de presque tous les romans d’amour en Occident : un homme,
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l’amor de lonh, d’où devaient sortir pendant des
siècles
tous nos poèmes et nos romans, combattait le mariage, ouvertement. En
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l. Je vois deux de ces réflexes s’amorcer dans ce
siècle
. 1. La réaction totalitaire On pourrait l’appeler aussi : réacti
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antisme. Tout concourt donc, vers le milieu de ce
siècle
, à miner le goût de la romance, au moment où celle-ci s’est répandue
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constituent le véritable style et l’excellence du
siècle
, et peut-être même son héroïsme. 21. Voir sur cette distinction qu
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aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à ce
siècle
présent, mais soyez transformés par le renouvellement de votre sens,
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ation des volontés de Dieu, contrariant celles du
siècle
, — soit la pensée, par une action26 qui ne peut être que révolutionna
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érive vers le néant. « Ne vous conformez pas à ce
siècle
présent, mais soyez transformés… » Cela ne signifie pas, pour un chré
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le, va-t-elle maintenant se manifester dans notre
siècle
? Le phénomène de la « conversion » le fait bien voir. Un homme qui s
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i est née en Europe a dominé le monde pendant des
siècles
. Elle est encore, à notre époque, celle qu’on imite partout, même qua
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nt que les meilleurs esprits déplorent depuis des
siècles
? Je ne pense pas que cette inquiétude et ce désordre soient accident
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cléaire et solaire permettront, vers la fin de ce
siècle
, de réduire le travail des ouvriers à quelques dizaines d’heures par
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pecter les vocations individuelles. La liberté du
siècle
présent se réclame du slogan utopique : à chacun sa chance. Mais la l
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. Il y eut d’abord ce titre subversif à l’aube du
siècle
: Les Illusions du progrès, de Georges Sorel. Puis on se mit à citer
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isi l’exil en soi. Tous les autres sont contre le
siècle
, d’une manière encore plus évidente, soit qu’ils attaquent avec achar
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aard et de Dostoïevski. Il est remarquable que ce
siècle
n’ait retenu du précédent que les génies antisociaux, les héros du re
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é lui. Curieux pouvoir des pessimistes de l’autre
siècle
sur les héritiers de leurs ennemis ! La bourgeoisie du xixe fut opti
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la technique, ce ne sont pas les bourgeois de ce
siècle
, ni leurs penseurs, mais bien les ouvriers du xixe et les travailleu
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ychanalyse réussissent à résoudre, à la fin de ce
siècle
, les grands problèmes matériels et moraux, individuels et collectifs,
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s démocratiques, qui l’obligent à ne rejoindre le
siècle
qu’en y entrant à reculons, tardivement et à coup de concessions arra
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aient l’un et l’autre abondamment cédé depuis des
siècles
. Il résulte de cette rapide analyse que les meilleures chances du chr
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de l’Empire romain d’Occident. Au cours des seize
siècles
qui ont suivi, sa reconnaissance officielle par l’empereur Constantin
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interdit, les mystiques soufis des ixe au xiie
siècles
ont tiré les symboles de leur lyrisme ésotérique… Je me contente d’in
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s d’hérésies chrétiennes datent des iiie et ive
siècles
: le manichéisme, l’arianisme, le donatisme, le monophysisme, etc., e