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ine, mais de vérité assimilée. Éviter, dénoncer l’
erreur
systématique est vital pour celui qui enseigne, mais accepter les ris
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r celui qui enseigne, mais accepter les risques d’
erreur
ou d’hérésie n’est pas moins vital pour celui qui est entré dans la q
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sophismes ou nos étourderies. Mais ce serait une
erreur
dès maintenant que de lier l’absolu divin à nos formulations les plus
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de repartir à neuf et de ne pas retomber dans les
erreurs
traditionnelles ou revenir aux disciplines de l’ère bourgeoise. Il se
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ler au passé, mais au contraire à une création. L’
erreur
de beaucoup de protestants, une fois que la génération de Luther et d
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retours au passé que nous tentons comportent des
erreurs
de ce genre, et dans cette mesure mêmeav restent imaginaires. Ce n’es
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Les modernes ont commis sur ce point une étrange
erreur
, lorsqu’à la suite du romantisme et de ses sous-produits, ils ont cru
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uer à la romance au nom de la moralité serait une
erreur
, car elle fascine dans la mesure où elle constitue un interdit, et me
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eût jugé. Marx ne perd pas son temps à dénoncer l’
erreur
qui est à la base d’une pareille imposture : il la sait trop profondé
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te qu’il allait déchaîner un préjugé absurde, une
erreur
non moins grave que celle des défenseurs de l’esprit pur : l’erreur q
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rave que celle des défenseurs de l’esprit pur : l’
erreur
qui porte l’homme à croire que la cause de tous ses malheurs est dans
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les marxistes, mais c’est aussi où apparaît leur
erreur
initiale sur l’homme. Leur ignorance ou leur aveuglement quant au dev
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i est essentiel chez Marx. Je ne critique pas une
erreur
contingente. Je ne dis pas : vous n’êtes pas assez marxistes ! Je dis
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la mesure où l’on trahit le marxisme, on fait une
erreur
fatale, irrévocable, aujourd’hui manifeste. Erreur sur l’homme et sa
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rreur fatale, irrévocable, aujourd’hui manifeste.
Erreur
sur l’homme et sa mission cosmique. Erreur sur la personne — dans mon
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feste. Erreur sur l’homme et sa mission cosmique.
Erreur
sur la personne — dans mon vocabulaire. Ma critique porte sur l’essen
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-nous rien que nous-mêmes à sauver, alors que nos
erreurs
passées sont pour une part, peut-être capitale, dans le malheur unive
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e et forcément trop généraux. Mais il y a plus. L’
erreur
commise jusqu’ici a été d’essayer de choisir prudemment une attitude
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conciliables parce que, de la combinaison de deux
erreurs
, on ne peut faire sortir une vérité, mais seulement une erreur aggrav
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peut faire sortir une vérité, mais seulement une
erreur
aggravée. De même l’orthodoxie ne sera jamais retrouvée en faisant un
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termédiaire ou « libérale », à mi-chemin des deux
erreurs
en lutte. Il faut changer de plan, et retrouver l’attitude centrale d
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n, et retrouver l’attitude centrale dont ces deux
erreurs
ne sont que des déviations morbides. Entre la peste et le choléra, il
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synthétiser les vérités disjointes et tournées en
erreurs
, qui subsistent dans les démocraties et dans les mouvements totalitai
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ls. Il ne se fonde pas sur un compromis entre des
erreurs
opposées, mais sur une attitude centrale qui dépasse ces erreurs en m
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s, mais sur une attitude centrale qui dépasse ces
erreurs
en même temps qu’elle ré-axe les vérités égarées dans les deux camps.
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l’avenir du christianisme, je pressens une double
erreur
: sur la fonction de la religion, et sur la nature même de l’homme. C
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ndant toutes sous le nom de paganisme, synonyme d’
erreur
scandaleuse et de nuit de l’esprit. Le christianisme historique est a