1
de l’atome, dans ce cœur du réel physique. Si nos
savants
s’étaient bornés à considérer des paysages, des villes, la mer, le ci
2
ses demi-cultivées, sinon dans l’esprit des vrais
savants
, est une sécularisation de l’idée d’ordre divin de la création — de m
3
iques ont donné l’occasion à un certain nombre de
savants
, historiens et écrivains de travailler pour les Églises dans leur ens
4
evaient succomber les plus grands rigoristes, les
savants
docteurs de la Loi, ceux que le peuple honorait à peu près comme on l
5
grande partie de l’humanité : ouvriers, artistes,
savants
, législateurs et artisans. Demandons-nous quelle différence il y a en
6
iste, mais aussi, et plus consciemment encore, le
savant
d’aujourd’hui. Est-ce que j’invente, se dit-il, ou bien est-ce que je
7
pes de la recherche. Quelques-uns des plus grands
savants
, un Newton, un Einstein par exemple, n’y vont que par l’intelligence
8
tre France et Allemagne, dans une atmosphère très
savante
, mais pénétrée de spiritualité. Influencé par le piétisme, il pensait
9
e la liberté, et du droit d’hésiter, d’errer… Les
savants
, apprentis sorciers, ont déchaîné dans le monde des forces inconnues.
10
a légende déchaînait une force inconnue. Mais nos
savants
font tout le contraire : ils domestiquent des énergies décelées par l
11
acué, l’homme n’étant plus qu’une sorte de bétail
savant
. Les utopies supposent, en somme, un autofreinage du progrès par les