1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
1 ’un homme qu’il a fait beaucoup de métiers est un éloge banal en Amérique (où versatile veut dire habile, doué de nombreux ta
2 leurs voisins. C’est un portrait, ce n’est pas un éloge , ni une critique. Dire que le Suisse moyen est sérieux mais heureux (
3 des grandes nations voisines. Et ce n’est pas un éloge de la petitesse en soi, ni des petites dimensions matérielles ou mora
4 u memento mori, mais nous préférons aujourd’hui l’ éloge de la vie au grand air. Et tout se passe comme si le souci de l’hygiè
5 a fait un peu tous les métiers », ce n’est pas un éloge , il s’en faut, c’est plutôt une manière de lui refuser cette considér
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
6 de la Suisse, Bâle, 1963. 141. Cf. E. Perron, «  Éloge de l’incohérence », dans le journal La Suisse du 13 avril 1964. 142.
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
7 Zwingli et Bullinger, au milieu du siècle, font l’ éloge de Tell, « auteur des libertés confédérées ». Mais c’est au fameux Æg