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er cette hypothèse descriptive. En 1880, un jeune
étudiant
genevois se présente à un professeur de Leipzig. Il est candidat au d
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u Mémoire sur les voyelles ? — C’est moi », dit l’
étudiant
modeste (« beau comme un dieu », ajoutera le professeur dans son réci
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la Suisse, près du tiers ont été conquis par des
étudiants
étrangers. Si l’on examinait la tradition des sciences physiques, mat
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diverses branches des sciences. Or, le total des
étudiants
inscrits dans nos dix établissements supérieurs était à peine de 26 0
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s. La même année, en Russie soviétique, 1 800 000
étudiants
se faisaient immatriculer. L’URSS ayant quarante fois plus d’habitant
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du siècle, impliquerait deux à trois fois plus d’
étudiants
, des professeurs beaucoup mieux rémunérés, des bâtiments beaucoup plu
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plus étroites les relations entre professeurs et
étudiants
. Les uns et les autres, pour une large proportion, se recrutaient dan
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ux-guerres, en 1936, Karl Barth interrogé par des
étudiants
hongrois sur l’attitude du croyant dans la vie politique, a cette rép