1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
1 er cette hypothèse descriptive. En 1880, un jeune étudiant genevois se présente à un professeur de Leipzig. Il est candidat au d
2 u Mémoire sur les voyelles ? — C’est moi », dit l’ étudiant modeste (« beau comme un dieu », ajoutera le professeur dans son réci
3 la Suisse, près du tiers ont été conquis par des étudiants étrangers. Si l’on examinait la tradition des sciences physiques, mat
4 diverses branches des sciences. Or, le total des étudiants inscrits dans nos dix établissements supérieurs était à peine de 26 0
5 s. La même année, en Russie soviétique, 1 800 000 étudiants se faisaient immatriculer. L’URSS ayant quarante fois plus d’habitant
6 du siècle, impliquerait deux à trois fois plus d’ étudiants , des professeurs beaucoup mieux rémunérés, des bâtiments beaucoup plu
7 plus étroites les relations entre professeurs et étudiants . Les uns et les autres, pour une large proportion, se recrutaient dan
8 ux-guerres, en 1936, Karl Barth interrogé par des étudiants hongrois sur l’attitude du croyant dans la vie politique, a cette rép
2 1970, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Préface 1970
9 viens de l’entendre dire à la radio par un jeune étudiant gauchiste, et c’est si beau qu’il faut que j’en croie mes oreilles.)