1
é négligemment sur les montagnes qu’il franchit.
Arrêtons
-nous d’abord en ce lieu remarquable qui de tout temps a fasciné les v
2
ne manque pas de m’émouvoir chaque fois que je m’
arrête
au Gothard : Ici les chemins se séparent. Ami, où vont tes pas ? Des
3
ûr qu’ils n’ont pas pu se défendre comme un tout.
Arrêtons
-nous ici pour nous demander si, avant le coup de force français créan
4
: En entrant sur le territoire de Berne, je fis
arrêter
; je descendis, je me prosternai, j’embrassai, je baisai la terre, et
5
nseil fédéral « présente des projets de lois ou d’
arrêtés
à l’Assemblée fédérale et donne son préavis sur les propositions qui
6
tel d’entre eux monter dans l’autobus bondé qui s’
arrête
devant le Palais fédéral, à côté du marché aux légumes. Ils n’ont pas
7
te. La Constitution prévoit que « les lois et les
arrêtés
fédéraux de portée générale doivent être soumis à l’adoption ou au re
8
accusés de « gêner la circulation », boycotts et
arrêtés
municipaux bloquant ses activités subversives. À Berne, on saisit ses
9
joue dans bien des cas le sort d’une loi ou d’un
arrêté
fédéral, car c’est là que se forme en bonne partie l’opinion du légis
10
l faut traverser un couloir de premières. Et je m’
arrête
, fasciné. Un vieux monsieur en noir, au col rond, dur et haut, ce doi
11
s de cultiver, mais cela changera bientôt, « on n’
arrête
pas le progrès… » Quant aux conceptions du mariage, quel est le sens
12
sition et m’arrêtant seulement si quelque chose m’
arrête
: délibérément subjectif. Car je cherche à savoir ce qui me retient d
13
ucieux de rigueur morale et de justice, rien ne l’
arrête
dans l’analyse des motifs inavouables ou bizarres du comportement hel
14
rd’hui que par l’octroi de subventions et par des
arrêtés
de censure cinématographique. 88. Vers du Biccocalied. À la bataille
15
l (Écrivez ? n’écrivez pas ? Paris, 1928) cite un
arrêté
ministériel du 26 février 1901 prescrivant l’usage des pronoms — arrê
16
26 février 1901 prescrivant l’usage des pronoms —
arrêté
destiné à l’usage des rédacteurs de la Chambre et des ministères, j’i
17
ntre l’influence du germanisme propagée par les «
arrêtés
fédéraux », l’afflux de Suisses alémaniques en Suisse romande, et l’i
18
n passera par là, probablement, mais pourquoi s’y
arrêter
? Car l’Histoire n’en fera rien. L’Europe a sécrété le nationalisme q
19
r, libres pour travailler et neutres à jamais. On
arrêterait
les frais de l’Histoire, une fois les Mirages payés. On mettrait le p
20
ll réussit cet exploit qui le sauve, mais se voit
arrêté
parce qu’il gardait cachée une seconde flèche pour le tyran. Il s’éva