1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
1 blanche sur champ rouge, c’est-à-dire le symbole chrétien sur la couleur de l’Empire — cette dernière signifiant le rattachemen
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
2 s dirigeants de syndicats, des socialistes et des chrétiens sociaux), l’éthique communautaire du fédéralisme se présente comme « 
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
3 huit. La droite est formée par les conservateurs chrétiens sociaux, puissants dans la Suisse centrale, catholique et campagnarde
4 par le nombre et la puissance. Les conservateurs chrétiens sociaux peuvent compter sur l’appui du clergé, des syndicats chrétien
5 vent compter sur l’appui du clergé, des syndicats chrétiens et d’importantes organisations paysannes, dont ils représentent les i
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 2. Les paradoxes de la vie économique
6 is : Union syndicale suisse : 437 000 ; syndicats chrétiens (cathol.) 79 000 ; syndicats évangéliques (prot.) : 15 000 ; syndicat
5 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
7 ne fougue adolescente, une peur naïve, un courage chrétien . Mort des martyrs et mort bourgeoise, mort soldatesque et mort de car
8 souvent dans les mêmes termes « qu’on ne naît pas chrétien , qu’on le devient », « qu’il n’y a pas de peuple chrétien » puisque c
9 , qu’on le devient », « qu’il n’y a pas de peuple chrétien  » puisque chrétien ne saurait désigner que l’individu « comme seul au
10 », « qu’il n’y a pas de peuple chrétien » puisque chrétien ne saurait désigner que l’individu « comme seul au monde » et voué à
11 re, ce contempteur de toute espèce de « politique chrétienne  » s’engage comme simple soldat dans l’armée suisse : il faut résister
12 au collège. » Mais son collège était une école du chrétien , sa discipline celle de la Vérité, à la fois transcendante et révélée
13 férieure du Rhône. Au ive siècle, une communauté chrétienne est établie à Genève, Bâle est déjà le siège d’un évêché, de même que
14 chaire, qu’il se propose d’expliquer la doctrine chrétienne en se basant sur les documents originaux de la Révélation, la Bible e
15 fois, en dépit de la quasi-unanimité des penseurs chrétiens du pays, l’État et la vie politique depuis un siècle n’ont cessé de s
16 essive. L’action individuelle d’hommes politiques chrétiens , sensible dans plus d’un domaine, n’est pas entravée par l’opinion pu
17  embourgeoisé » et « hypocrite » des « soi-disant chrétiens  ». Toutefois, ces motivations spirituelles ou civiques, puritaines ou
18 9 526 Catholiques romains 407 456 Catholiques chrétiens 6 Israélites 4 Autres confessions ou sans confessions 4 8 L’a