1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
1 à un manque d’intérêt, les autres à un défaut de compétence . Je suis homme et, je l’avoue sans remords excessif mais non plus san
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
2 extension des droits des citoyens, limitation des compétences cantonales. Prise entre le pouvoir central et le peuple, l’autonomie
3 qui l’amène à faire la théorie de l’équilibre des compétences entre l’union et les autonomies et à prôner une « nationalité interna
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
4 fédéraliste. Mais au concret ? La répartition des compétences entre les États membres et le pouvoir central est le problème spécifi
5 t le droit de grâce, et tranchent les conflits de compétence entre les autorités fédérales et cantonales. L’approbation des allian
6 adoption du budget fédéral sont également de leur compétence . Soulignons enfin que les membres de l’Assemblée fédérale ne sont jam
7 s par cette coutume ne figure pas expressément la compétence particulière du candidat pour tel Département à repourvoir. L’anomali
8 e du pouvoir. Cependant, s’il fallait ajouter une compétence spécialisée aux facteurs obligés de choix qu’on vient de citer, le pr
9 ents techniques exposés ou réfutés avec une calme compétence par des spécialistes de l’économie, des finances, ou de l’administrat
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 3. Interaction de l’économique et du politique
10 ons dans la gestion de leur fédération, accru les compétences de l’État, dévalorisé les partis, évacué les idéologies et rendu l’ex
11 nelle — donc par définition statique — fixant les compétences respectives des membres et de l’organisme commun qu’ils se donnent. C