1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
1 . Il nous fait voir un jeu d’institutions dont la complexité s’est révélée pratique, en servant les diversités au lieu de prétendr
2 ons expliquer cette incongrue machine d’une folle complexité que nous avons montée tous ensemble, que nous ne cessons d’ajuster, e
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
3 sance exacte des antiquités helvétiques dans leur complexité réelle n’eût pas été capable de susciter. Il arrive que le mythe gouv
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
4 , il donne lieu à des contestations d’une infinie complexité . Les Kybourg et les Savoie tentent d’arrondir leurs possessions, aux
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
5 ’à nos jours. Devenue lentement invisible dans la complexité et l’enchevêtrement des successives confédérations à quatre, à sept,
5 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
6 utés : rien qui ressemble davantage, en fait, aux complexités que j’ai décrites dans la deuxième partie de cet ouvrage, à cette dif
7 ans cette mesure régressifs. En revanche, pour la complexité , la Suisse ne craint personne ! Voici quelques raisons qui me portent