1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
1 oi Pictet de Rochemont, représentant la Suisse au congrès de Vienne, n’eut de cesse qu’il n’eût obtenu pour son pays la reconna
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
2 aldi haranguant les passants. Il va l’entendre au Congrès de la paix. « Impossible, écrit-il, d’imaginer ce que ces messieurs l
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
3 t plus de 100 000 membres. Elle tient son premier congrès à Montreux, en septembre 1947, date que l’on peut considérer comme le
4 politique européenne. En effet, c’est au cours du congrès de Montreux que germe l’idée de réunir des états généraux de l’Europe
5 idée aussitôt adoptée conduit à la convocation du Congrès de l’Europe, à La Haye, au mois de mai 1948. De La Haye naît le Mouve
6 mouvement et le rôle qu’y jouent des Suisses. Le congrès de La Haye ayant préconisé la création d’un Centre européen de la cul
7 tion — trop mal connue — qui va de Hertenstein au congrès de Montreux, du congrès de Montreux à celui de La Haye, puis au Conse
8 qui va de Hertenstein au congrès de Montreux, du congrès de Montreux à celui de La Haye, puis au Conseil de l’Europe à Strasbo
9 e temps où j’écrivais le Message final du premier Congrès de l’Europe à La Haye, et le temps où l’Europe unie sera sans doute u
10 dance de la Suisse et neutralité », conférence au congrès de l’Union européenne des fédéralistes de Suisse, 1962. M. Miéville p