1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
1 uels qu’ils soient, bons ou médiocres, atroces ou excellents , finissent un jour, c’est-à-dire finissent mal : et personne n’a jama
2 a nature au transit et doté d’un réseau de routes excellentes , était parvenu, par la faute de ses institutions, à se priver complèt
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
3 uère, se cherchent des prétextes et en trouvent d’ excellents , mais il n’y a plus de gratuité. Dans L’Annuaire statistique de la Su
4 ational et de tous les temps », écrivait-il à son excellent traducteur français Charles Baudouin. Et de même, au critique hongroi
5 i est bien français ! » on entend : Voilà qui est excellent , typique du premier pays du monde, et bien digne d’être approuvé par
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
6 u peuple », ainsi que l’écrit Max Wehrli dans une excellente étude sur l’état présent des recherches concernant Tell. (Neue Zürche
4 1970, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Préface 1970
7 chweiz und ihre Schriftsteller, par Kurt Marti. L’ excellent recueil d’articles sur des auteurs romands par Manfred Gsteiger, West