1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
1 e et de polémiste illustre, avec autant d’agreste poésie que de science bien humanisée et de liberté d’esprit gentiment insole
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
2 pas à choisir un pseudonyme. Quelques recueils de poésies médiocres, un chant patriotique encore très populaire (« Roulez tambo
3 alpestre, aérien et cristallin — le sommet de sa poésie . Après lui, il y a Frank Martin, qui atteint la grandeur par la densi
4 les réussites de l’art total — musique, peinture, poésie , danse — à la fois populaire et d’allègre avant-garde. Qu’il ait fall
5 jeu. L’ouvrage classique de Marcel Raymond sur la poésie moderne, De Baudelaire au surréalisme, a fondé cette école qu’on nomm
6 lter Diggelmann et le subtil Peter Bichsel. La poésie  : trois évadés célèbres Un grand poète, un seul en six-cents ans,
7 n Gessner, puis à l’Allemagne post-romantique les poésies de C. F. Meyer et de Gottfried Keller, qui ne valent pas les œuvres e
8 ordre passager qui n’atteignent pas le fond de la poésie , puisque la poésie commence où ces limites disparaissent. Dès ma jeun
9 n’atteignent pas le fond de la poésie, puisque la poésie commence où ces limites disparaissent. Dès ma jeunesse j’ai choisi ma
10 du cœur historique de sa langue pour la parler en poésie autoritaire, créant un style qui se propage du cénacle mallarméen ou
11 ux émouvants, et de cela la Suisse est riche. La poésie moderne n’a rien de grand chez nous, mais elle a pris en Suisse deux
12 ussi favorables aux sciences qu’il l’est peu à la poésie pure ou à la pure métaphysique. C’est dans les sciences humaines, bie
13 de l’élémentaire. Avec Maurice Chappaz on est en poésie , en invention verbale, en fable épique, et non plus en intrigue ou en