1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
1 etteté, ce sentiment plus d’énergie. Ce mémorable progrès , tout nous le révèle. Les paroles, les écrits, les fêtes nationales,
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 2. Les paradoxes de la vie économique
2 elles sources d’énergie et d’alimentation) et les progrès de l’intégration européenne ne révèlent, contrairement aux craintes p
3 iège principal est aujourd’hui à Bâle. Enfin, les progrès de la chimie (grâce à l’énergie électrique produite par l’eau des Alp
4 es dans le détail, pas à pas, et appuyées par les progrès de la science. Nous avons vu aussi que l’industrie suisse n’est pas,
5 e, bien qu’au détriment, il est vrai, de certains progrès sociaux ou rationnels ; elle freine (parfois utilement) les courants
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
6 mais cela changera bientôt, « on n’arrête pas le progrès … » Quant aux conceptions du mariage, quel est le sens général de leur
7 e aussi, plus répandu peut-être que l’autre et en progrès , mais pourquoi a-t-il tant de peine à s’exprimer ? » Le prêtre ajouta
8 auxquels leur ignorance des conditions réelles du progrès permet seule de se dire progressistes, j’ose penser que la Suisse a m
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
9 tation, aux vêtements, à l’industrie même. Or les progrès de la technique occidentale créent tant de substituts à ces produits