1 oyen ; et quiconque dans les vallées assistera et protégera ce malfaiteur, devra réparer de ses biens le dommage souffert. Et si

2 jusqu’aujourd’hui. Ils furent donc les derniers à protéger Louis XVI contre l’émeute populaire, le 10 août 1792, et se firent ma

3 re qui ne la concernait pas, et qu’elle fut ainsi protégée d’une menace que personne ne brandissait contre elle. Tout autre étai

4 Elle nous rendait donc vulnérables, loin de nous protéger , comme on le répète. Ce qui a sauvé la Suisse à ce moment-là, c’est s

5 ai fait plus haut, que la neutralité ne les a pas protégés premièrement contre des États qui ne la mettaient pas en question en

6 st une diminution de notre souveraineté : il nous protège en somme contre nous-mêmes. Mais avons-nous encore besoin qu’on nous

7 nous sentir « en règle », et donc de nous croire protégés par toutes les lois divines et humaines, comme si le monde où nous vi

8 u pays. La pudeur de la jeunesse suisse est ainsi protégée par les douaniers, fonctionnaires subalternes et militarisés. Quels p