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notre indépendance », à nos traditions et à notre
sécurité
, qu’il convient de faire obligation aux autorités de la respecter, da
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t. Elles lui ont valu un siècle de prospérité, de
sécurité
, de dignité gouvernementale. Ce sont les crises, la peur et le scanda
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aire oublier que la correction, la décence, et la
sécurité
des citoyens sont de purs et simples miracles ; que le monde est une
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somme, inconsciemment, comme si notre système de
sécurité
devait être à chaque instant vérifié, mis au point, méticuleusement n
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rt des hommes veulent, et méritent sans doute, la
sécurité
avant tout. Ce phénomène n’est pas particulier à la Suisse, mais peut
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remier rang de ses préoccupations son repos et sa
sécurité
. Tel pourrait être, à peu près, le péché propre des Suisses. C’est da