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ire qu’il publiait en 1948, La Suisse, démocratie
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, André Siegfried s’est posé cette question. Mais il s’est gardé d’y r
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avantages sociaux. En somme, à cette « démocratie
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», ce visiteur sérieux et averti n’adresse d’autre critique, si c’en
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typiques, empruntés à des observateurs étrangers,
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directs et objectifs de l’état de choses qui règne en Suisse à la fin
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uisses. 61. A. Siegfried, La Suisse, démocratie
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. 62. William Rappard, « De la centralisation en Suisse », dans la Re
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rent en conflit déclaré avec leur Église établie,
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de l’absolu subjectif. Vinet écrit : « Liberté, le plus beau mot de t