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z et d’Unterwald renouvellent à tout événement le
traité
d’assistance mutuelle sans doute conclu un demi-siècle ou une vingtai
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ment de la même année, le 16 octobre — un premier
traité
avec Zurich — les noms des chefs qui dirigeaient alors la politique d
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e et profitable au bien public, de consolider les
traités
dans un état de paix et de tranquillité. Soit donc notoire à tous que
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bles disposant des sceaux et rompus à l’usage des
traités
. Guillaume le Simplet, le Tell de la légende, n’eût pas entendu ce la
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ar le col du Gothard, et qui savaient rédiger les
traités
à la manière des ligues lombardes et des jurandes florentines. C’est
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-Allemagne », et ses chefs seront nommés dans les
traités
« ces Messieurs des Ligues ». Toutefois, dans la seconde moitié du xi
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ux trois vallées comme à un tout, bien que par un
traité
distinct de celui qui a formé ce tout, le pacte secret de 1291 publiq
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1848 dit : « Toute alliance particulière et tout
traité
d’une nature politique entre cantons sont interdits. » Le Pacte de 12
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n 1516, les Ligues concluent avec François Ier un
traité
de paix perpétuelle qui sera respecté durant près de trois siècles. L
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nes. Ils reçoivent 400 000 couronnes en rachat du
traité
de Dijon, et 300 000 couronnes d’indemnité pour la campagne de Marign
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es. La Diète avait signé avec le roi une série de
traités
d’alliance qu’on nommait « capitulations ». Les cantons ou certaines
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utorisés à lever des troupes dans le cadre de ces
traités
, et ces troupes servaient les souverains, mais sous les ordres de leu
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ls lèvent pour le service étranger, négocient les
traités
, voyagent, et reviennent se construire des châteaux. À Berne, Lucerne
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de la politique du Conseil fédéral. Les premiers
traités
internationaux qui la définissent et la sanctionnent sont les traités
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ux qui la définissent et la sanctionnent sont les
traités
de Vienne et de Paris, au lendemain de la chute de Napoléon. Et ce n’
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l’acte de neutralité octroyé en 1815 et joint au
traité
de Paris : Les Puissances signataires… reconnaissent authentiquement
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icative. 1° La neutralité suisse, garantie par le
traité
de Vienne, était invoquée par les Puissances pour contester à la Conf
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tralité a subi des altérations fondamentales. Les
traités
de Paris et de Vienne l’avaient défini par rapport à l’Europe. Mais l
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Article 7. — Toute alliance particulière et tout
traité
d’une nature politique entre cantons sont interdits. Article 8. — La
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ire avec les États étrangers des alliances et des
traités
, notamment des traités de péage (douanes) et de commerce. Dès le pr
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ngers des alliances et des traités, notamment des
traités
de péage (douanes) et de commerce. Dès le premier article, le parad
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les et cantonales. L’approbation des alliances ou
traités
avec l’étranger, la guerre et la paix, la garantie des constitutions
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antons » (art. 89) ; et il en va de même pour les
traités
internationaux conclus pour une durée de plus de quinze ans. Tel est
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dre utile au genre humain par autre chose que les
traités
latins où il expose ses découvertes sur le calcul différentiel et int
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nous continuons de proclamer dans les termes d’un
traité
vieux de cent-cinquante ans, — tandis que dans nos frontières mêmes s
26
Or Genève n’est liée aux Suisses que par quelques
traités
de combourgeoisie. Elle ne fait pas partie de la Confédération des tr
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système de pactes politiques et militaires, et de
traités
économiques entre pays prétendus souverains. C’est la formule d’une S
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une journaliste s’avisa de « présenter » le sujet
traité
et surtout l’intention du « réalisateur ». La Suisse, écrivait-elle,
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ce n’était pas là mon sujet. Bien d’autres l’ont
traité
comme il le méritait et le méritera toujours mieux, surtout en Suisse