1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
1 ntimentale ou esthétique. Que feraient-ils de mes éloges , même sincères ? Ils n’ont jamais mis en question la nécessité de leu
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
2 ’en suis plus au temps où j’approuvais certains «  Éloges de l’ignorance » plus sentimentaux d’ailleurs que machiavéliques. Je
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — III. Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
3 ale et très habile : il ne conserve que les rares éloges et supprime les critiques qui terminaient la phrase ou le paragraphe
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
4 u memento mori, mais nous préférons aujourd’hui l’ éloge de la vie au grand air. Et tout se passe comme si le souci de l’hygiè
5 a fait un peu tous les métiers », ce n’est pas un éloge , il s’en faut, c’est plutôt une manière de lui refuser cette considér
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 à six-mille kilomètres de distance, pour faire l’ éloge d’un de ses produits, ou lire la lettre d’un client touché aux larmes
7 gorie précise d’étudiants. « Génie » n’est pas un éloge excité, dans leur bouche : cela se mesure et cela se définit par des