1 nt ; je me suis sans doute perdu et pourtant je n’ éprouve qu’une étrange sécurité. Présence, présence réelle… Comme j’ai peine

2 e sentiment d’absurdité foncière qu’il m’arrive d’ éprouver en face d’une action purement raisonnable. Ah ! quelle raison t’attir

3 lotterai pas encore au-dessus de vous, et si je n’ éprouverai pas de l’amertume à voir que mes derniers désirs même ne sont pas acc

4 possible et qui est la seule chose que les hommes éprouvent dans le fond de leur être. Il faut derrière ces idées une masse volon

5 ’elle y est née, pourquoi ne puis-je m’empêcher d’ éprouver un sentiment de regret pour elle, de resserrement ? 4 décembre 193

6 e condition. Ils sont peut-être trop pareils pour éprouver le besoin de s’unir. Ils n’ont pas à faire face à des menaces extérie

7 re ou la factrice, ou le postier, ou un Renaud, j’ éprouve une brève angoisse : quel rapport entre cet homme à qui je parle, et

8 la réalité. À la fin on obtient l’absurdité que j’ éprouvais , mais aussi l’impossibilité de la « sentir » avec quelque vivacité, s

9 ertaine « sympathie » (souffrir avec) que l’homme éprouve pour ses victimes : « Je regrette vraiment beaucoup, mais il faut que

10 e temps, j’ai pu écrire quelques articles… Mais j’ éprouve une difficulté croissante et déjà presque insurmontable à me faire à

11 mme « comme les autres » par cela même que l’on s’ éprouve absolument distinct de tous les autres. 1er mars 1935 Si l’on c

12 suffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent éprouvé . Les grands soulèvements de l’instinct vers la clarté, notre raison l

13 t cela est des plus simples, est évident, et si j’ éprouve quelque difficulté à le formuler, c’est que le dire reste dans mon es

14 — cependant que l’esprit demeure lucide. Ce que j’ éprouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’horreur sacrée. Je me cro

15 près eux, ils n’imaginent pas un instant qu’ayant éprouvé ce que j’ai dit, à ce degré d’intensité, je n’aime pas cela comme ils

16 époque : un mystère de nature religieuse. Vous l’ éprouverez sans doute comme moi dans les salles d’actualités, à considérer le pu

17 ien Benda) se voyait à tel point vulgarisée que j’ éprouvai le besoin de publier une mise en garde, comme un médecin qui craint l

18 nos fils appelleront douceur de vivre ? Déjà nous éprouvons que le monde a glissé dans une ère étrange et brutale, où ces formes

19 r rend enfin le goût de vivre ? Privilégiés qui n’ éprouvent de désir pour leurs biens qu’à la veille de les perdre. Déshérités au

20 les déchirures de la brume. Mais de nouveau j’ai éprouvé la sensation de pénétrer dans une aire « sacrée », dans un territoire

21 somme que le péché ? C’est cela, c’était ce que j’ éprouvais à Times Square avec une acuité crispante : l’état du monde d’où l’Esp

22 ils écrivent, à les voir chez eux ou ensemble, j’ éprouve une sorte de tristesse. Ils paraissent encore moins intégrés que leur

23 Brazil ! Mélancolie de Rio de Janeiro. Je l’avais éprouvée jusqu’au malaise, en août. Cette fois-ci, le départ s’est passé comme

24 envoie bientôt en Afrique du Nord, et de là… Et j’ éprouve un besoin presque panique de me rassembler, de me retrouver, pour ren

25 le est au contraire l’état dans lequel les hommes éprouvent le plus grand mal à pousser leurs efforts au maximum. La guerre nous

26 ces sentiments « bizarres » qu’on se croit seul à éprouver et qu’on partage en fait avec tout un chacun. Idiosyncrasie — univers

27 l n’est pas fait pour vous, mais près de lui vous éprouvez une liberté. Et cette constatation, bien entendu, ne signifie rien su