1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
1 es au loin de massifs éclatants, le gravier d’une allée fait son bruit luxueux, tout s’éclaire : cent fenêtres dans une façad
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — III. Une « tasse de thé » au palais c…
2 d’une danse, au-dessus, et des voix qui passent. Allées et venues dans la fête invisible qui m’environne, ah ! que n’êtes-vou
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VI. La tour de Hölderlin
3 ait encore plus de paix que maintenant. La grande allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons. Il voyait des prai
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
4 e sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai jusqu’au S
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
5 lanches incultes du potager, de chaque côté d’une allée bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battant
6 , de chaque côté d’une allée bordée de rosiers. L’ allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à demi cachée par des la
7 uiles concassées pour recouvrir les routes et les allées de leurs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essa
8 montons plus au ciel du second Faust que par ces allées de Ferrare ! 18 décembre 1933 Je ne cesse de repenser à la conf
9 berté et de repos que vous sauriez faire dans vos allées  ; et je n’y considère pas autrement les hommes que j’y vois que j’y f
10 oit compact. Je me dirige à peu près le long de l’ allée unique, entre les rosiers. Je trouve à tâtons le verrou de la porte d
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
11 dre des baraquements de carton goudronné. Petites allées de campagne, en terre noire. Parfois on voit une haie fleurie, un bui
12 s de boisson, de tabac, légumes défraîchis. D’une allée sort un homme en espadrilles. Il porte un broc et va le remplir au bo
13 ère, et je me retrouvai seul. Mon idée s’en était allée (je ne l’ai retrouvée que ce matin). Mais je venais de voir, le temps
14 et qui les satisfait ? Pourquoi pas cette vie aux allées droites bordées de gazon ras, en teintes plates et pâles comme le lav
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
15 ayer la neige accumulée sur le trottoir et dans l’ allée . Il y en avait un bon demi-mètre, et il gèle ferme. Insomnies aggravé
16 jamais vu de plus serein. Point de barrières ni d’ allées . De simples pierres dressées sur le gazon, irrégulièrement espacées.
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
17  La voiture nous suivra de loin. Devant nous, une allée d’eucalyptus, quatre rangs de chaque côté, pendant des kilomètres. Pu
18 lomètres. Puis la voûte noire et surbaissée d’une allée de lambercianas. À droite et à gauche, des bosquets de mimosas en fle
19 claquer son fouet.) ⁂ En débouchant de la grande allée des lambercianas, devant la plaine, je me sens retenu par une barrièr
20 n. ⁂ Au retour d’une promenade lointaine dans les allées d’eucalyptus traversées par le vol onduleux et soyeux d’oiseaux jaune
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
21 re, cachée dans les bosquets au bout d’une longue allée qui monte entre des barrières blanches. — Et vous verrez ce qu’elle e