1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — I. Le sentiment de l’Europe centrale
1 u’on parle de paradoxe, Tartempion se souvient du café du Commerce, tandis que le premier des Doktor phil. venu évoque le co
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
2 l’après-midi par exemple —, non sans angoisse. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le pittoresque, mais il s’ag
3 noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid
4 alisme magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés , dans les halls universitaires, brodé aux devantures des magasins de
5 aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?)   « Tous ce
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VI. La tour de Hölderlin
6 a rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
7 sont venus pour tuer le temps, au lieu d’aller au café . Cette inertie, dès qu’il ne s’agit plus d’argent. À moins que ce ne
8 23 décembre 1933 J’écris ceci sur une table de café . À travers la vitrine, je vois le vieux port de cette vieille ville,
9 des « discussions » qu’on peut entendre dans les cafés du port, au chef-lieu, mais qui correspond bien à ce que les pêcheurs
10 locales. D’abord il faut aller dans deux ou trois cafés pour obtenir un minimum de précisions concernant l’heure du prochain
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
11 entré comme ils achevaient de boire leur tasse de café au fond de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture. Jour
12 a place du village. En face ou à côté, il y a les cafés , les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y
13 les femmes qu’on voit. Eux sont au travail, ou au café . — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! M
14 avail, ou au café. — Pourquoi n’iriez-vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! Moi, ça ne me gênerait pas. Mais eux o
15 s une cuisine de paysans, dans un temple, dans un café , dans une salle d’Université… Cui bono ? À qui le bénéfice ? À moi d
16 er, celui qui vous entraîne dans sa chambre ou au café , celui-là peut vous révéler la vraie raison d’une communion entre deu
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
17 es têtes aux mêmes heures à la terrasse des mêmes cafés . Chaque chose est à sa place dans l’espace et l’histoire, chaque nuan
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
18 Ainsi j’ai retrouvé ma vieille Germanie dans les cafés , dans la ville médiévale, dans l’odeur douce des magasins de tabac, d
19 ais beaucoup de ceux que l’on voit encore dans un café de la place de l’Opéra paraissent, il faut l’avouer, justifier les sl
20 . Mais intérieurement on enrage, et à la table de café du “corps” on ne connaît plus de retenue. Certaines déclarations ordu
21 rire des articles pacifistes, ou traîner dans les cafés , ou gagner de l’argent, ou même faire la théorie d’un ordre nouveau ?
22 e sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra. Je dis à mon compagnon, le dramaturge suisse alleman
23 es, et j’ai une carte. — Venez voir ! Du seuil du café , l’on aperçoit toute la place de l’Opéra. Des milliers de SA et de SS
24 rogramme communiste atténué. 10 mai 1936 Au café avec mes étudiants. Je les interroge sur leurs expériences de camp de
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
25 en voit revêtue. 26 avril 1939 Une heure au café avec un romancier, ex-leader du Front populaire et conseiller privé d
26 29 avril 1939 Comme il est des stratèges de Café du Commerce — généraux qui n’ont rien à commander —, il est des « rés
27 t qui vivrait sa vie consacrée dans les rues, les cafés , les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, où passe le
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
28 sont à la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du village. Une heure creuse, à l’armée, quel beau vide, ou quelle pl
29 les vents. Rares sont les boutiques, et même les cafés . Et s’il passe une auto, c’est une de ces voitures branlantes qui sem
30 passera, et nous serons encore une fois assis au café des Deux Magots. La vie reprendra. Cela paraît irréel. » La seconde m
31 in, avec les fondateurs, dans une petite salle de café enfumée par les cigares de l’infatigable Gottlieb Duttweiler. L’organ
32 J’ai attendu les résultats de la démarche dans un café proche du Palais fédéral. Les délégués m’y retrouvent après une heure
33 ürichberg. Tandis que nous nous dirigeons vers un café , à l’heure du déjeuner, sur une route presque campagnarde, entre deux
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
34 la liste des articles qu’on ne peut plus vendre : café , liqueurs, savon, beurre, sucre, pain blanc et vin rouge… Le pain et
35 es, halte de dix minutes à la terrasse d’un grand café . Beaucoup de monde, mais peu d’animation. On nous sert, sous le nom d
36 ais peu d’animation. On nous sert, sous le nom de café noir, un breuvage au goût d’encre additionné de jus de saccharine. Et
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
37 » dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café , ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout
38 sur l’escalier. Il m’attendait. Il m’entraîne au café . Il avait des questions à me poser au sujet d’un de mes livres dont i
39 e vraie place, au carrefour de trois rues, et des cafés où vers six heures du soir se groupent autour d’un verre et d’un prob
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
40 es chenilles mécaniques transbahutant des sacs de café par milliers, pendant toute une nuit d’insomnie. Nous entrons dans l
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
41 s. Hier c’était au Brevoort, la seule terrasse de café de New York, avec quelques jeunes professeurs de l’École libre. Remar
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
42 le benedicite avant de s’asseoir et l’on pose au café des problèmes de roman détective. Les Européens vus d’ici, au travers