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cheux. Telles, peut-être, se délimitent la notion
chrétienne
et la notion antique de l’homme ; telles, dans une certaine mesure, l
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. En ceci, le monde de l’Europe centrale est plus
chrétien
que le monde latin — si l’on considère ses manières de sentir et de p
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son tour plus audacieux, et pour tout dire, plus
chrétien
que le monde de l’Europe centrale. L’intelligence sentimentale
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un équilibre final, triste réplique du millénium
chrétien
. Les autres, avec Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution m
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nner jusqu’au bout le courage. Je parle de la foi
chrétienne
où je veux être, de ce suprême « choix » qui ne vient pas de moi, mai
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alisme, bourgeoisie égoïste, guerre. Mais le vrai
chrétien
est avec les petits. Résumé de ce que la Bible dit des travailleurs :
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C’est lui qui est mauvais, non pas la Bible. Être
chrétien
, c’est aimer son prochain comme Jésus nous aime. Si tous les hommes é
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comme Jésus nous aime. Si tous les hommes étaient
chrétiens
, il n’y aurait plus d’exploitation ni de guerre !… » La péroraison a
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qu’il a dit ! » Comment donc ? Ai-je affaire à un
chrétien
ou même à un protestant ? J’essaie de le faire parler. Je lui dis : «
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ler. Je lui dis : « Oui, c’est la vérité pour les
chrétiens
, mais tout le monde ne pense pas comme ça ici ? » Il me regarde un pe
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. L’orateur avait dit que la différence entre les
chrétiens
et les incroyants, ce n’est pas que les chrétiens se conduisent mieux
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chrétiens et les incroyants, ce n’est pas que les
chrétiens
se conduisent mieux que les autres, mais c’est qu’ils se confient en
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têtes »… 16 décembre 1934 Le grand tort des
chrétiens
, c’est qu’ils prennent au sérieux l’incroyance de leurs contemporains
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omique profond, lugubre et déprimant que celui du
chrétien
honteux, honteux d’une foi qu’il n’a pas ! Car s’il l’avait, il n’aur
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D. H. Lawrence. — Tout ce qui n’est pas d’origine
chrétienne
, dans le socialisme, se fonde sur cette superstition bourgeoise : que
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e société qu’ils sont encore les seuls à croire «
chrétienne
» —, il faut bien dire que le parti communiste se moque « objectiveme
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classes ». Il me semble que seuls les romanciers
chrétiens
— Dostoïevski, Lagerlöf ou Ramuz — ont su prendre la vie des hommes «
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« J’entends crier de toutes parts à l’impiété. Le
chrétien
est impie en Asie, le musulman en Europe, le papiste à Londres, le ca
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angui. Le pasteur a parlé de l’héroïsme. Le héros
chrétien
n’est pas celui qui meurt glorieusement pour la puissance de sa race,
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ent sur au moins quelques siècles d’histoire. Le
chrétien
seul meurt dans la certitude, parce que sa foi lui a révélé la fin ab
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égime les valeurs qui nous sont vitales ? Pour un
chrétien
, il y va de bien plus : de la forme que pourra revêtir l’annonce de l
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ligions. Il fallait cette épreuve du feu pour les
chrétiens
embourgeoisés. 7 mars 1936 Comme je traversais la place de l’Op
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urnal. Je n’ai ajouté que ceci, en conclusion : «
Chrétiens
, retournez aux catacombes ! Votre “religion” est vaincue, vos cérémon
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s conceptions du monde existent en Allemagne : la
chrétienne
, la marxiste, la nationale-socialiste… Elles s’excluent mutuellement
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cluent mutuellement sans compromis… La conception
chrétienne
et la marxiste sont l’une et l’autre libérales, parce qu’individualis
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ts de devises et des traîtres au peuple… Même les
chrétiens
qui ont le loyal désir de servir le peuple — et il y en a — doivent ê
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t demandèrent l’autorisation de se retirer, étant
chrétiens
. Suit le récit de plusieurs entrevues prolongées avec les responsable
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Barth et la théologie dialectique, l’ensemble des
chrétiens
luthériens et calvinistes qui refusent de laisser « mettre au pas » l
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fermant Niemöller ils abattront la résistance des
chrétiens
: ils se figurent que le christianisme est un parti.) La vérité est a
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e leur en sait aucun gré. Le Parti n’aime pas les
chrétiens
. Ils sont là comme l’œil de Caïn dans la tombe, — la tombe autarcique
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lle n’est que le premier affrontement de l’Église
chrétienne
et d’un système « total » dont les chefs ont beau jeu de prouver qu’o
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l adversaire du régime demeure, en fait, l’Église
chrétienne
; c’est-à-dire qu’à la religion de la nation et de la Race ne s’oppos
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encore dans le Führer un protecteur de l’Occident
chrétien
contre la barbarie des sans-Dieu bolchéviques ! Tandis que le premier
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Certes, l’Allemand libéré des manières de penser
chrétiennes
peut très bien faire ce pas, et même devra le faire un jour, s’il res
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mporte quelle religion… Il est temps que le monde
chrétien
prenne conscience à la fois de cette chance et des risques immenses q
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e spirituelle, athéisées jusqu’à un point que les
chrétiens
, souvent, n’imaginent guère, se trouvent devant le fait religieux plu
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it qu’une telle religion hait mortellement la foi
chrétienne
, tournée vers le pardon, le futur éternel, le rachat du péché d’origi
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ée de promesses équivoques. Ère nouvelle pour les
chrétiens
qui pensaient n’avoir plus à redouter que l’incroyance et l’inertie.
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ou de gauche, d’Action française ou de démocratie
chrétienne
, de Parti communiste ou de Ligues préfascistes, où c’est en vain que
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de religion qui obscurcissaient l’image du monde
chrétien
. Quel pouvait être l’avenir pour un Allemand de la guerre de Trente A
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ne fougue adolescente, une peur naïve, un courage
chrétien
. Mort des martyrs et mort bourgeoise, mort soldatesque et mort de car
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cution entreprise par Julien l’Apostat contre les
chrétiens
, quand tout espoir humain semblait perdu, tout horizon bouché, Athana
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t un vaste rassemblement de jeunes gens : « Comme
chrétiens
, nous n’avons à redouter que le Prince de tous les démons, et non pas
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e plus beau, c’est que ça réussit : ils devinrent
chrétiens
. Ceci dans l’ascenseur bondé de dames du Club. En suivant le groupe q
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ard a dit cela toute sa vie : si vous voulez être
chrétien
, soit, mais sachez de quel prix cela se paie. — Oui, cela vous revien
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de faire payer la pension beaucoup plus cher aux
chrétiens
qui s’égarent chez eux ? Pour nous, c’est dix dollars de plus que pou