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mples : Paul Desjardins : grand intérêt, émotion,
conférence
à l’Union pour la Vérité. Benda : id. article ? Renéville : préfère l
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’île pour allumer le feu, j’ai vu l’annonce d’une
conférence
contradictoire à A… : « La Bible et les travailleurs. » C’est sans do
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travailleurs. » C’est sans doute une réponse à la
conférence
donnée au même endroit, il y a quinze jours, sous les auspices d’une
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availleurs. » Je comptais me rendre à la première
conférence
. Mais le village d’A… est à 8 kilomètres et la tempête m’avait empêch
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as. Peut-être que la discussion annoncée après la
conférence
d’A… me fera modifier ce jugement. J’en suis bien curieux. 13 déce
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Je relève les notes prises l’autre soir sur la
conférence
à A… — Grande salle de la Mairie, voûtée, peinte en bleu clair. Une t
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ction du bureau, puisque, comme vous le savez, la
conférence
est contradictoire. Je vous demanderai donc de bien vouloir proposer
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18 décembre 1933 Je ne cesse de repenser à la
conférence
d’avant-hier, à A… Il me semble qu’elle m’apprend sur « le peuple » d
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ine dans les propos de mon voisin au sortir de la
conférence
. Cet homme trouvait qu’il n’y avait rien à « discuter » dans les paro
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écouter avec plaisir quand ils viennent faire une
conférence
instructive avec projections lumineuses. Mais les philosophes28, par
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ion inefficaces. L’opinion de mon voisin après la
conférence
, j’ai pu croire que c’était l’opinion d’un nigaud ; mais non, c’est c
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x ans, pour entrer en contact avec la population.
Conférences
, visites, colportage de bibles de porte en porte. On ne peut pas dire
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erai pas les conclusions que j’avais tirées de la
conférence
à A. Elles sont également vraies. Ce qui est faux, c’est de parler du
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ènent les affaires du pays. Ils vont à toutes les
conférences
, prennent la parole au Cercle d’hommes, citent des livres sur la poli
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quand les voyez-vous ? — Surtout à l’occasion des
conférences
que j’organise. Vous avez déjà parlé dans des cercles d’hommes, vous
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ité. Palavas-les-Flots, 6 janvier 1935 Deux
conférences
à Montpellier, hier et ce matin. Des étudiants, des professeurs. Beau
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de Marseille… Et soudain je me suis souvenu de la
conférence
que je dois donner à Marseille dans quinze jours. Je ne voulais pas l
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rier 1935 Terminé hier soir la rédaction de ma
conférence
. Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C’est évidemment absurde, cette
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s. Demain dimanche, à 10 heures, sera donnée une
conférence
au profit des vieux, hommes et femmes, âgés de soixante ans au mois d
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s assurances sociales ont intérêt à assister à la
conférence
. L’organisation lutte afin de faire accorder une retraite aux vieux.
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s petits bourgeois, l’obscurantisme clérical — la
conférence
est à 10 heures, dimanche matin… — et les oligarchies réactionnaires
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rtre, il y a deux ou trois ans, j’assistais à une
conférence
contradictoire contre le christianisme. « Ils prétendent qu’ils ne cr
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entreprise dans cette ville. Échange d’étudiants,
conférences
, cercles d’études, aide bénévole aux étudiants en langues romanes, vo
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ours ne commencèrent que le second jour, avec une
conférence
de X… chargé de l’instruction de la province. Sujet : “Notre sang, no
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qui me fut faite en février 1939 d’une tournée de
conférences
dans quatre universités suisses, sur un thème suggéré par l’associati
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ris les livres I à V. En mai, comme prévu, quatre
conférences
en Suisse, une présentation du livre V sur l’Amour et la guerre au Co
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mbre d’hôtel et j’ai écrit pendant deux jours ces
conférences
que j’allais faire, absurdement, dans un pays qui n’existait peut-êtr
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l’autre jour à Tavannes où nous avions donné deux
conférences
devant un vaste rassemblement de jeunes gens : « Comme chrétiens, nou
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Suisses à l’étranger85 m’offrait une « mission de
conférences
» en Amérique. L’armée démobilisait les deux tiers de ses effectifs.
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et politiques. Peu d’argent ; moyens d’en gagner
conférences
et articles mais pour qui et sur quoi, je ne le sais pas encore. L’A
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rais-je bien être I’« ex » ? Avec ma « mission de
conférences
» (prétexte évidemment peu convaincant) je fais figure d’ex-voyageur
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’on vous demande un cent. 13 novembre 1940
Conférences
. — Elles doivent être courtes — cinquante minutes — et garder autant
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ars demain pour l’Argentine, où je donnerai douze
conférences
. Débâcle russe. Absurdité du siècle. Toutes les causes collectives en
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os Aires. Je n’ai pas écrit un seule de mes douze
conférences
. L’hiver ramène ses soucis. Mais il est des plus modérés. 4 août 1
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e, mes premières impressions, le programme de mes
conférences
, ce que je vais dire dans la prochaine, ce que j’y ai dit, les discou
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i va me paralyser pendant quinze jours encore. ⁂
Conférences
. — Comme aux États-Unis, ne point dépasser l’heure. Mais ces Latins n
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res du groupe de Sur, l’honneur du Sud… Avant mes
conférences
sur l’hitlérisme, on a craint que le gouvernement ne m’empêche de par
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aître88. ⁂ L’Anti-diable. — L’avant-veille de ma
conférence
sur le diable dans notre siècle, un reporter américain avec qui je dî
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— Qu’en savez-vous ? Je n’ai pas encore écrit ma
conférence
? Nous savons tout, prenez ce fauteuil. — Vous en savez en tout cas p
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résident du Jockey ayant proposé que je donne une
conférence
dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un t
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un passeport suisse… », affirmera au cours d’une
conférence
prononcée en Sorbonne le 28 novembre 1946, et publiée dans le recueil
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ureau par jour, pour rentrer en possession de mes
conférences
, lettres, journaux intimes, coupures de journaux, carnets d’adresses,
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on lit, sans que je bouge. J’ai lentement relu ma
conférence
de Buenos Aires, des notes éparses. À sept heures, je me suis mis à é
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utre compositeur qui a suivi quelques-unes de mes
conférences
, me disait l’autre jour : « Ce n’est pas que nous refusions les règle
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ez qui je veux dire, qui se répand en articles et
conférences
, mais je vais le démasquer, j’ai mon dossier ! » Comme je feins de ne