1
lle. Je rentre de Francfort où nous avons tenu un
congrès
des jeunesses européennes. J’y suis allé avec des camarades de petits
2
nt la cause commune de la jeunesse européenne. Le
congrès
de Francfort, organisé par Plans, a révélé cette unité fondamentale q
3
manifestes européens de la Résistance (1944), du
congrès
fédéraliste de Montreux (1947) et du Congrès de l’Europe à La Haye (1
4
, du congrès fédéraliste de Montreux (1947) et du
Congrès
de l’Europe à La Haye (1948). Voici les articles 9 à 13 : « ix. — À l
5
s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier
congrès
des instituteurs qui s’est tenu à Paris, et bien ! citoyens ! lors de
6
est tenu à Paris, et bien ! citoyens ! lors de ce
Congrès
, il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la phrase étant particul
7
nouvelles demandes de « causeries » : l’une à un
congrès
d’instituteurs, l’autre à un cercle d’études sociales. Les instituteu
8
rlé devant les auditoires les plus hétéroclites :
congrès
d’étudiants, cours ruraux, « journées sociales », amateurs de littéra
9
rsque nous fûmes, en 1924, à Hambourg, au premier
congrès
de l’Internationale reconstituée, combien n’en est-il pas qui, sans t
10
garder chez soi. Il est donc assez naturel que le
congrès
de Nuremberg, qui célébra le réarmement du Reich, se soit intitulé :
11
catholique, à ses cérémonies grandioses, à ses «
congrès
eucharistiques ». N’est-il pas significatif que ces grands spectacles
12
ent une armée pour tyranniser toute l’Europe. (Le
congrès
de Nuremberg célébrant le réarmement du Reich s’intitula « Tag der Fr