1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
1 turels, l’ample respiration élémentaire. Je ne défendrai pas les junkers… J’entends les gens de villes : « Ça ne doit pas ê
2 reprochent pas d’ignorer Proust. Mais quoi, je ne défendrai pas les junkers, — dont le nom seul est une injure dans tant de bouch
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — III. Une « tasse de thé » au palais c…
3 it va-t-il ainsi nous séparer ? Ce corps de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le velours, dans la lu
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
4 raisonnement fin, encore que juste, mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’amour jaloux du merveilleux, avec quoi l’
5 endications d’hommes d’affaires. Ce qu’on prétend défendre , c’est son droit, ses intérêts. Mais, en Hongrie, le nationalisme est
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
6 e fille potelée, qui rit, — et qui doit savoir se défendre à l’occasion, mais comme elles font, pas trop tôt. 28 avril 1929
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
7 a douceur de vivre, à la tendresse. Et comment se défendre , sinon par l’attaque ? Sinon par l’affirmation de l’identité nécessai
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
8 s cherché la guerre, moi ! Eh bien ! je saurai me défendre  ! Et malgré les persécutions de ceux qui ont intérêt à étouffer la vé
9 onneur des consciences, vous saurez maintenant me défendre  ! etc. » C’est fini. L’instituteur s’éponge. Les hommes du fond ont a
10 défricheurs, mais de petits propriétaires qui se défendent avec la seule obstination de l’instinct, au niveau le plus bas où l’h
11 pole. Ça n’est pas les deux sous, mais il faut se défendre  ! » 15 avril 1934 La culture et les gens. — Souvent, quand je
12 t tout y est correct : je dis que la thèse que je défends est vraie !… Il y aurait de quoi s’arrêter de penser, si l’on pouvait
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
13 à sens unique : c’est la personne qui cesse de se défendre , c’est l’anarchie qui renonce à ses droits. Et si le cadre de l’État
14 us en plus totalitaire. C’est donc que l’homme se défend de moins en moins. Ses « superstitions » personnelles (son quant-à-so
15 e de rancune, ils en viennent à s’imaginer qu’ils défendent eux aussi les « petits » en défendant ces exploiteurs du mensonge en
16 sont ses intérêts, à quel niveau il faudrait les défendre . « Aliéné » par un ordre inhumain, il ne sait plus penser sa vie. Int
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
17 une manière de prouver qu’ils ont quelque chose à défendre , à supposer que ce soit une manière de se défendre, ce dont il est pr
18 éfendre, à supposer que ce soit une manière de se défendre , ce dont il est prudent de douter. Dites-vous encore que j’admire le
19 ois que je suis contraint, bien malgré moi, de le défendre ou de m’en donner les airs. Par exemple, on me dit : les nazis veulen
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — II. Conclusions
20 ne s’agit ici que de religion. Ce n’est pas pour défendre le capitalisme que les mineurs de la Sarre ont voté leur rattachement
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — III. Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
21 un des principes que les démocraties prétendaient défendre et sur le système qu’elles pratiquaient en fait. C’est ainsi que l’Al
22 approche, naturellement. « Tu sais que je te l’ai défendu , tu vas te brûler. — Non, ça ne brûle pas. — Mon petit, tu vas te brû
23 ou bien ils sont comme tous ceux qui ont tenté de défendre la liberté, emprisonnés, torturés — ou supprimés ». Mais le second ar
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
24 vient de là. Car la culture qu’on nous propose de défendre , c’est elle, précisément, qui est responsable de la brutalité totalit
25 la brutalité totalitaire. On nous propose donc de défendre une maladie contre la mort à quoi elle mène nécessairement. Au lieu d
26 , c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme. Et peut-être surtout dans ce cas ! La panique de « l’uni
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
27 tragique évidence. Et c’est cela que nous avons à défendre  : le seul avenir possible de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soi
28 qu’en fait, si nous sommes là, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils d’administration, notre confort et nos hôt
29 ofiter de sa faiblesse. Nous sommes chargés de la défendre contre elle-même, de garder son trésor, d’affirmer sa santé, et de sa
30 n’existait peut-être plus, qui était réduit à se défendre par le suicide, la Hollande inondée, disait-on. ⁂ Et voici sous la pl
31 la mesure de notre action. Je vais à lui pour me défendre contre l’écœurement qui me guette. Et dans sa volonté presque cynique
32 ns. Pourtant nous sommes les seuls à pouvoir nous défendre . Depuis plusieurs années, je pense au Saint-Gothard comme au cœur de
33 ndance que l’armée justement se trouve chargée de défendre à tout prix80 ? La première rencontre des dix « conjurés » aura lieu
34 tégrité du territoire. » Or il est clair que pour défendre un territoire, il est parfois indiqué de céder du terrain : c’est ce
35 0, qu’il est aussi des retraites nécessaires pour défendre l’indépendance. Cela se discute. Ce fut la tendance de Vichy. Par bon
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
36 d’être humain, au lieu de le forcer sans trêve à défendre sa vie d’animal ? J’en vois un, c’est peut-être le seul. Là, point de
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
37 mal placés pour discuter cela, donc en somme pour défendre l’esprit, — qui était pourtant tout ce qu’il restait à défendre par n
38 rit, — qui était pourtant tout ce qu’il restait à défendre par nous, dans l’exil…
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
39 sujet de la liberté, il la perd en feignant de la défendre encore. Prenons du champ. Et d’abord un grand bain d’air pur, après u