1
bles… Si je « lâchais » un instant, toutes choses
disparaîtraient
… Le vertige (la peur et l’amour du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait
2
as s’éloignent. Un trait de lumière sous la porte
disparaît
. Il aime sentir autour de lui vivre la grande maisonnée, cet espace c
3
ne, rougit. Elles rient et s’en vont, et avant de
disparaître
au coin d’une maison jaune, se retournent. Ce petit monde enclos par
4
’on voit ? — Ou bien, au contraire, cette laideur
disparaîtrait
-elle si je pouvais les connaître mieux, un à un ? — Il sera bientôt t
5
on sociale et spirituelle, toute commune mesure a
disparu
, — dans une telle société il est fatal que se répande dans les masses
6
e régulière, qui serpentait d’un flanc à l’autre,
disparaissait
, reparaissait, contournait la colline de Wassen surmontée d’une églis
7
nes ronronnent. Le petit gratte-ciel du Retiro va
disparaître
. Un dernier orage rougeoie dans la direction du Tigré. Nous montons v
8
lois. Guerre totale : tout élément de jeu réglé a
disparu
, la victoire n’est plus que la destruction physique et morale de la n
9
tes ses forces, et sur cette dernière exécration,
disparaît
dans l’attroupement qui s’est formé. Février 1943 De l’Imitati
10
yeux. Une amie, fort connue pour sa beauté, ayant
disparu
de New York depuis plusieurs semaines, je téléphone chez elle un same
11
e colline, nous voyons deux chevaux au galop. Ils
disparaissent
dans un vallonnement, et maintenant remontent vers nous sans ralentir
12
piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle
disparaît
dans le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de chiens de tout
13
lutte inutile désormais, vaine une fois le danger
disparu
? Oui, si le danger a vraiment disparu ; et si nous ne savons rien ti
14
le danger disparu ? Oui, si le danger a vraiment
disparu
; et si nous ne savons rien tirer de cette épreuve de nos forces. Or
15
nos forces. Or presque aucun danger n’a vraiment
disparu
. Et je ne vois presque personne qui cherche à renouveler quoi que ce
16
lu les premiers essais (La Mort lente), il avait
disparu
dans les bois et nous revint au bout d’une heure, pâle et défait, dis