1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
1 nnes enguirlandées de roses. Toute une famille de géants , debout sur un seuil solennel, me regarde piquer du nez à l’arrêt bru
2 ent sous les coups de pied des étalons de course, géants aux longs fessiers noirs luisants. Sur la plaine éblouissante, des tr
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
3 tures des magasins de mode, et son nom en lettres géantes sur une montagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espéranc
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
4 alent dans la famille. Le gros Fritz est un blond géant de 25 ans, qui rit avec bonté et se distingue dans les concours de gy
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 tunnel dans une plaine de marécages et de roseaux géants , coupée de canaux et de digues, enjambée par les arches de fer d’un p
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
6 r des Bulgares. L’autre jour, sous les eucalyptus géants de la Armonia, V…, prise d’un accès d’enthousiasme, m’a broyé le bras
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
7 d’enfants qu’il illustre lui-même à l’aquarelle. Géant chauve, aux yeux ronds d’oiseau des hauts parages, aux doigts précis
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
8 luies ouverts forment des ailes de chauves-souris géantes . Un antiquaire a prêté sa collection de statues du diable, de toutes
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
9 ut portique. Deux colonnes blanches entre des ifs géants , comme des ailes noires. Je n’en ai jamais vu d’aussi grands, ils mon
10 est parti. » Jim était l’intendant, une sorte de géant toujours en bottes, qu’elle emmenait partout avec elle. Je pense au r