1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — I. Le sentiment de l’Europe centrale
1 ies. À force de se craindre dupe, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance qui déjà la frappe n’es
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
2 us rafraîchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est con
3 éfiances. Certains se sont faits communistes, par goût de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un parti national-marxi
4 l’Occident ? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa puissance ? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces château
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
5 ars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités, et dont Michel Babits est aujourd’hui le chef de fi
6 niciens ou intellectuels. Les Français aiment par goût d’en bien parler. Les Suisses aiment avec une bonne ou une mauvaise c
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
7 à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine puissance de l’esprit qu
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
8 rer ces tâches pratiques dont j’ai toujours eu le goût et le besoin. Elle m’obligeait à vérifier ou rétablir sans cesse la c
9 de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais caractère. Il y ava
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
10 lairet assez acide, qui laisse peut-être un léger goût iodé, au moins l’on est tenté de l’imaginer : la vigne croît ici au r
11 La péroraison a été éloquente, un peu trop à mon goût . On applaudit. Le président demande s’il y a des questions à poser. L
12 e Paris et de fumer des cigarettes américaines au goût de miel, introuvables dans l’île. Pendant que ma femme lit des hebdom
13 l faut les aimer, ou parce qu’on n’a pas d’autres goûts que ceux qu’inspire la publicité. En somme, tout cela n’est effrayant
14 quand nous étions adolescents, chose nouvelle au goût de souvenir, que trop de téléphones, à la ville, de tout à l’heure, d
15 ir les doigts et les ongles terreux ; toujours ce goût d’enfance… Je ne me sens plus « éloigné de Paris », mais au centre de
16 pagnie en exercice. 33. Idolâtrie de Goethe : ce goût de l’utilité pure, de la « qualité d’être utile » prise en soi, qui r
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
17 a population des faubourgs des grandes villes. Le goût de « la vie saine » et du grand air, vous ne le trouverez que dans la
18 s moyens politiques qui empêchent cette santé, ce goût du risque, de se transformer mécaniquement en guerre. C’est tout le p
19 La mauvaise habitude de penser « librement » ? Le goût des chimères précises ? 4 novembre 1934 Cette note de la nuit d
20 dit. Je lui ai fait du poulet, elle n’y avait pas goût . Alors j’ai pensé lui faire du bouillon de poulet, ça lui a fait de l
21 truction publique et la Presse répandent sinon le goût , du moins la pratique quotidienne de la lecture. Le public s’étend au
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
22 esquelles on compte sans doute qu’ils perdront le goût des études. À cela s’ajoute la grande difficulté d’obtenir des livres
23 uvent que la propagande hitlérienne flatte un des goûts profonds de l’Allemand : celui d’apprendre. Rosenberg, Goebbels, les
24 berté ! Ce serait le signe que nous en perdons le goût et l’usage naturel, spontané. Vertige de la relativité historique. —
25 uerre. Lui. — Ce n’est là, tout simplement, qu’un goût que nous avons. Cela n’a rien à voir avec la guerre, la guerre contre
26 z à faire comprendre, hors d’Allemagne, que votre goût du décor guerrier est un goût pacifique somme toute, sportif, artisti
27 llemagne, que votre goût du décor guerrier est un goût pacifique somme toute, sportif, artistique si j’ose dire ! Lui. — Eh
28 sme, bellicisme et passivité, esprit spartiate et goût du confort, jeunesse cynique et vieux bateaux réactionnaires, bourgeo
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
29 e, puis en Espagne, elle nous semblait relever du goût de l’action en soi, d’une efficacité dramatique à souhait dans l’immé
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
30 raient avouer que cette menace leur rend enfin le goût de vivre ? Privilégiés qui n’éprouvent de désir pour leurs biens qu’à
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
31 sous la menace. Alors on vit à plein. On sent le goût des choses. Et l’on est prêt à tout abandonner au premier signe du de
32 un disait : Si Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
33 us sert, sous le nom de café noir, un breuvage au goût d’encre additionné de jus de saccharine. Et les apéritifs sont interd
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
34 maintiendrait-il ? Il est fondé chez nous sur le goût de l’objet, mais aussi, avouons-le, sur la disette et le besoin d’uti
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
35 nos raisons folles. Si nous changions un jour de goûts et d’ambition, ce paysage se transformerait. Si je me tourne vers le
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
36 eur, sinon que tant de luxe, humanisé par tant de goût s’y rend presque invisible aux premiers regards. Laissons aux simples
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
37 mit de toutes ses fourrures et se récrie : « Quel goût  ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici, tou