1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VI. La tour de Hölderlin
1 . Mme Gontard est la Diotima de l’Hypérion et des poèmes .
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
2 ormes qu’on voudra, roman, essai, commentaires ou poèmes , la fiction n’étant plus qu’un alibi, ou peut-être une dernière pudeu
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
3 onné. Une feuille de papier-machine avec ce petit poème en prose : À Thivars, 8 kilomètres de Chartres, Petite fermette 3 pi
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
4 -Zagreb-Bucuresti. Je me rappelle que j’en fis un poème . Pour la première fois, j’avais senti l’Europe. Hier, j’étais dans ce
5 la Bicoque, crie son indignation dans un furieux poème , et s’en revient à Berne pour y faire la Réforme. Il écrira d’abord d
6 e des vieilles libertés ; et maintenant sceau des poèmes qu’il dédie « à la louange de Dieu ». ⁂ Quand on dit chez nous de que
7 rtillerie décimait les Suisses à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands.
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
8 nt en général trop formalistes ou rhétoriques nos poèmes et nos essais. Une jeune romancière me disait : « Vous autres Europée
9 i plus, puisqu’il est vrai. Et le début d’un long poème sur l’exil. Dans les cinquante pages que je relis, cette note sur le