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nconnu et tellement fascinant à la fois, qu’il me
préserve
de tout amour pour quelque bien particulier où je serais tenté de me
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ue dans la pauvreté, mais aussi de toute pauvreté
préservée
dans la richesse. (Je ne cède pas à la tentation des parallèles verba
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croire, non pas ce qui serait indispensable pour
préserver
les Allemands de la famine, mais au contraire ce qui est indispensabl
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ie civile n’est guère qu’un embêtement dont on se
préserve
sans guère y penser. On ouvre un parapluie, on passe un imperméable,