1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
1 es de l’Insoluble, nous n’avons plus le droit d’y prêter une libérale complaisance. Laisse donc tous ces noms dont se meublent
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
2 e cuir ne soit pas mouillé. (C’est qu’on nous l’a prêté , il faut le soigner…) Nous sortons du port, et tout de suite la mer e
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
3 eux. 13 décembre 1933 Un ami auquel j’avais prêté quelques centaines de francs il y a un an, m’en renvoie 100 par le co
4 e la Bible, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit, le pasteur note le nom du « président » et p
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
5 tures de Gide, que je viens de recevoir et lui ai prêtées . Il s’étonne sincèrement du communisme affiché par l’auteur, et concl
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — III. Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
6 Certaines phrases de ma Conclusion 1938 pouvaient prêter à équivoque, et y ont prêté. Je demandais que les démocraties résolve
7 usion 1938 pouvaient prêter à équivoque, et y ont prêté . Je demandais que les démocraties résolvent à leur manière les problè
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
8 e n’est pas se mettre en location. Ce n’est pas «  prêter  » son nom ou son autorité. Ce n’est pas faire payer sa prose par Ce S
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
9 rrivant dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je trouve un grand jeune homme assis sur l’escalier. I
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
10 r 25 kilomètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a prêté sa maison de ville où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maiso
11 rs si strictement vêtues de noir et blanc, et qui prêtaient au Paris d’avant-guerre ses plus élégantes Parisiennes. Gratin sans
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
12 heures au fond de la grande salle. Il vient nous prêter sa voix noble, agrémentée d’un léger sifflement, mais il garde pour l
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
13 ailes de chauves-souris géantes. Un antiquaire a prêté sa collection de statues du diable, de toutes les tailles, de tous le