1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
1 s de Shanghai, qui rapportèrent tant d’argent aux propriétaires de la presse qui publie ces articles, me paraissaient en ce temps-là
2 que je désigne. Junker ne saurait désigner qu’un propriétaire terrien de petite ou de nulle noblesse ; pas un instant, les grandes
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VI. La tour de Hölderlin
3 ouloir, la chambre. L’homme qui me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur connaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
4 i par l’inventaire de mon domaine. Je ne suis pas propriétaire , c’est entendu. Je ne possède légalement que des valises, de quoi me
5 (Renaud-de-la-Cure), qui est une vieille amie des propriétaires de notre maison, est venue plusieurs fois nous voir. Hier, elle m’a d
6 e veut que chaque champ soit partagé à la mort du propriétaire en autant de parcelles qu’il y a d’héritiers. Ceci pour éviter que l’
7 n n’a pas l’habitude. » Contre-épreuve : un petit propriétaire venu du continent il y a trois ans et qui utilise des outils ordinair
8 t pas des colons, des défricheurs, mais de petits propriétaires qui se défendent avec la seule obstination de l’instinct, au niveau l
9 e y est pourtant depuis notre arrivée, héritée du propriétaire . Nous l’avons nourrie sans espoir pendant des mois, la croyant trop v
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
10 aison, suivi d’une grande femme en noir. C’est la propriétaire , Mme Turc. Elle nous fait entrer. Pour la vente du raisin, il faut at
11 rtie des « travailleurs », et pourtant elles sont propriétaires . Je vois en elles un type très classique de Françaises : leur polites
12 ’entreprendre quelque chose, de résister aux gros propriétaires qui tiennent la région, et de leur imposer des mesures de progrès, de
13 — tous les chefs en tout cas —, ce sont de petits propriétaires ou des ouvriers travaillant à leur compte. — En somme, vous vous ente
14 ées, de villages vides, de champs en friche et de propriétaires ruinés ; et surtout cet ennui dans la jeunesse rurale, ce sentiment d
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
15 ique le siège d’un état-major de SS ou de SA. Les propriétaires juifs qui n’ont pas émigré essaient de louer un ou deux étages. Nous
16 À la fin de l’après-midi, nous trouvons enfin un propriétaire aryen. C’est une vieille dame aimable qui parle un français fort pass
17 des besoins élémentaires chez les Allemands. Les propriétaires de notre maison sont ruinés. Ils n’ont plus d’autre argent liquide qu
18 manie aimée »… 2 janvier 1936 Le fils de la propriétaire est un maigre blafard, blessé de guerre, et qui ne peut plus s’occupe
19 Des pas précipités dans l’escalier. Le fils de la propriétaire sort de la cave en gesticulant, une bouteille à la main, et remonte q
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
20 es. Et les Anglais, même battus, se comportent en propriétaires de droit divin de la victoire en général. La seule solution possible 
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
21 1940. Forest Hills, 30 novembre 1940 Notre propriétaire est un médecin des chiens. Il vient sonner vers les huit heures du so
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
22 erminé dans peu. 23 mars 1942 Une lettre du propriétaire m’apprend qu’on va démolir mon étage. Je louais cet atelier au mois e