1 lleurs ; tout à ma chance hongroise en ce premier réveil — délivré. Chez moi je suis la proie de l’angoisse du courrier. J’att

2 des arrivées et des adieux… Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangement mêlées. Les clefs perdu

3 es masses qu’elle n’a pas résisté un seul jour au réveil brusque de certains instincts. Mais je ne vais pas redire ici ce que

4 t de leur périlleux ajustement, que l’histoire du réveil des religions au terme de l’ère rationaliste. Ce n’est pas le phénom

5 sés, sur un talus, ou pire encore : ils en ont au réveil , affreux bonheur d’une illusion rapide, où suis-je ? déjà tout recomm

6 auchemar qui est vrai, nous allons en désordre au réveil . La mort, le désespoir en plein midi, — ou la reconnaissance de l’uni

7 d’un cauchemar. Mais c’est aussi comme un premier réveil désorienté dans une chambre nouvelle. Je monte sur le pont et ne le r