1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
1 e. Quelques semaines après mes examens finals, un téléphone de Paris m’offrait un job dans une société d’imprimerie et de publica
2 leur, contre une bourgeoisie que la jouissance du téléphone et de l’ascenseur console de sa déchéance morale, déchéance jalousée
3 cidentelle à Santa Fe, Nouveau-Mexique ; enfin un téléphone qui m’apprit que mon job était supprimé. La société qui m’employait d
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
4 en avoir le cœur net, a pris des instructions par téléphone au chef-lieu. Son supérieur lui a confirmé qu’un manuscrit s’affranch
5 , chose nouvelle au goût de souvenir, que trop de téléphones , à la ville, de tout à l’heure, d’heures de bureau, d’impitoyables re
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
6 ouru. Pourtant, ils ont eu peur, ici. Une dame me téléphone , encore anxieuse : « Dès que le discours a été terminé, je me suis pr
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
7 re, l’ordre de mobilisation peut m’être donné par téléphone (avant l’affichage). Mais ce qui me vient par téléphone, c’est la dem
8 one (avant l’affichage). Mais ce qui me vient par téléphone , c’est la demande d’écrire une pièce pour l’Exposition nationale de l
9 30 septembre, à dix-sept heures, on m’appelle au téléphone . Ce n’est pas la guerre, c’est « la paix pour notre génération », a d
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
10 ec précision. Forcer la porte, couper les fils de téléphone , prendre le type, ramasser les papiers… La légation allemande, nous d
11 il se passait quelque chose, je serais alerté par téléphone . Peu dormi, et levé à six heures. Avant d’entrer à mon bureau, près d
12 a donc sans histoires. Vers la fin de la matinée, téléphone de M… Oui, il y aura des histoires…, paraît-il. Mais rien de nouveau
13 deux minutes. Je me prépare à sortir. Sonnerie du téléphone . On va me parler de l’E.-M. du Général. — C’est bien vous qui avez éc
14 ents d’un énorme désastre, incroyable et vrai. Le téléphone m’apporte, heure par heure, les nouvelles de l’action entreprise pour
15 ns sont nécessaires, car je sens qu’on écoute mes téléphones  79.) Le risque individuel prend sa place normale dans le risque colle
16 l. Tout est détail, facile et plutôt fastidieux : téléphones , lettres, coups de sonnette, vérifications, petits retards, noms à re
17 elques jours plus tard : « Vous êtes imprudent au téléphone . Par bonheur, c’est moi qui suis chargé des rapports d’écoute. J’effa
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
18 oitures circulent à gauche, et au lieu de dire au téléphone  : Allô, on dit : Olla ! Il y a là quelque chose d’important. Que le N
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
19 s comptes inquiétants, reculé devant une série de téléphones plus urgents l’un que l’autre. Puis rêvé en regardant la pluie tomber
20 ère, mon espace humain, mes relations, à coups de téléphone et de rendez-vous. Un monde de signes, de croisements, de hasards, de
21 papier blanc. Des heures ont passé, immobiles. Le téléphone a sonné plusieurs fois, près de mon lit, sans que je bouge. J’ai lent
22 1942 Quand je me suis endormi au matin, si le téléphone appelle un peu plus tard et que je fais effort pour reprendre mes esp
23 l’escalier quatre à quatre, j’ouvre ma porte : le téléphone sonnait. C’est un ami qui vient de quitter l’Office of War Informatio
24 alle sans bruit dans les bureaux presque déserts. Téléphone d’Henri Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui se passe… « 
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
25 en lit, et d’où sans se lever l’on atteindrait le téléphone , la poignée du frigidaire, les boutons du fourneau électrique, ceux d
26 disparu de New York depuis plusieurs semaines, je téléphone chez elle un samedi soir. « Que devenez-vous ? C’est bien par chance
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
27 e me suis abonné au « service de secrétaires » du téléphone  : il répond de ma part en mon absence, prend les messages et me les c
28 able sans retirer mon manteau, et je décroche mon téléphone . — Messages pour moi ? La voix d’une secrétaire anonyme répond (trop
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
29 longtemps, j’attends assis devant ma table que le téléphone me donne le signal du départ. À la fin de la matinée, j’aurai quitté
30 font trembler les vitres et légèrement tinter le téléphone posé devant moi sur la table. J’attends. Je n’ai pas souvenir qu’il f