1
e. Quelques semaines après mes examens finals, un
téléphone
de Paris m’offrait un job dans une société d’imprimerie et de publica
2
leur, contre une bourgeoisie que la jouissance du
téléphone
et de l’ascenseur console de sa déchéance morale, déchéance jalousée
3
cidentelle à Santa Fe, Nouveau-Mexique ; enfin un
téléphone
qui m’apprit que mon job était supprimé. La société qui m’employait d
4
en avoir le cœur net, a pris des instructions par
téléphone
au chef-lieu. Son supérieur lui a confirmé qu’un manuscrit s’affranch
5
, chose nouvelle au goût de souvenir, que trop de
téléphones
, à la ville, de tout à l’heure, d’heures de bureau, d’impitoyables re
6
ouru. Pourtant, ils ont eu peur, ici. Une dame me
téléphone
, encore anxieuse : « Dès que le discours a été terminé, je me suis pr
7
re, l’ordre de mobilisation peut m’être donné par
téléphone
(avant l’affichage). Mais ce qui me vient par téléphone, c’est la dem
8
one (avant l’affichage). Mais ce qui me vient par
téléphone
, c’est la demande d’écrire une pièce pour l’Exposition nationale de l
9
30 septembre, à dix-sept heures, on m’appelle au
téléphone
. Ce n’est pas la guerre, c’est « la paix pour notre génération », a d
10
ec précision. Forcer la porte, couper les fils de
téléphone
, prendre le type, ramasser les papiers… La légation allemande, nous d
11
il se passait quelque chose, je serais alerté par
téléphone
. Peu dormi, et levé à six heures. Avant d’entrer à mon bureau, près d
12
a donc sans histoires. Vers la fin de la matinée,
téléphone
de M… Oui, il y aura des histoires…, paraît-il. Mais rien de nouveau
13
deux minutes. Je me prépare à sortir. Sonnerie du
téléphone
. On va me parler de l’E.-M. du Général. — C’est bien vous qui avez éc
14
ents d’un énorme désastre, incroyable et vrai. Le
téléphone
m’apporte, heure par heure, les nouvelles de l’action entreprise pour
15
ns sont nécessaires, car je sens qu’on écoute mes
téléphones
79.) Le risque individuel prend sa place normale dans le risque colle
16
l. Tout est détail, facile et plutôt fastidieux :
téléphones
, lettres, coups de sonnette, vérifications, petits retards, noms à re
17
elques jours plus tard : « Vous êtes imprudent au
téléphone
. Par bonheur, c’est moi qui suis chargé des rapports d’écoute. J’effa
18
oitures circulent à gauche, et au lieu de dire au
téléphone
: Allô, on dit : Olla ! Il y a là quelque chose d’important. Que le N
19
s comptes inquiétants, reculé devant une série de
téléphones
plus urgents l’un que l’autre. Puis rêvé en regardant la pluie tomber
20
ère, mon espace humain, mes relations, à coups de
téléphone
et de rendez-vous. Un monde de signes, de croisements, de hasards, de
21
papier blanc. Des heures ont passé, immobiles. Le
téléphone
a sonné plusieurs fois, près de mon lit, sans que je bouge. J’ai lent
22
1942 Quand je me suis endormi au matin, si le
téléphone
appelle un peu plus tard et que je fais effort pour reprendre mes esp
23
l’escalier quatre à quatre, j’ouvre ma porte : le
téléphone
sonnait. C’est un ami qui vient de quitter l’Office of War Informatio
24
alle sans bruit dans les bureaux presque déserts.
Téléphone
d’Henri Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui se passe… «
25
en lit, et d’où sans se lever l’on atteindrait le
téléphone
, la poignée du frigidaire, les boutons du fourneau électrique, ceux d
26
disparu de New York depuis plusieurs semaines, je
téléphone
chez elle un samedi soir. « Que devenez-vous ? C’est bien par chance
27
e me suis abonné au « service de secrétaires » du
téléphone
: il répond de ma part en mon absence, prend les messages et me les c
28
able sans retirer mon manteau, et je décroche mon
téléphone
. — Messages pour moi ? La voix d’une secrétaire anonyme répond (trop
29
longtemps, j’attends assis devant ma table que le
téléphone
me donne le signal du départ. À la fin de la matinée, j’aurai quitté
30
font trembler les vitres et légèrement tinter le
téléphone
posé devant moi sur la table. J’attends. Je n’ai pas souvenir qu’il f