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ne possède légalement que des valises, de quoi me
vêtir
, et quelques livres. Mais aussi, je ne puis vivre nulle part sans me
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t que je suis heureux suffit à me nourrir et à me
vêtir
? Vous n’avez qu’à regarder la frange de mon pantalon. Ce n’est pas a
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e Travail, de jeunes filles, de femmes pauvrement
vêtues
: ils ne disent presque rien. On se passe une lorgnette, une saucisse
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gique et tourmenté, stature mince et très droite,
vêtue
de noir. Et cette certitude saisissante, après quelques minutes de so
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rsuit dans les métamorphoses de sa vie : toujours
vêtue
aux couleurs de sa fièvre et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les ho
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s femmes des estancieros, toujours si strictement
vêtues
de noir et blanc, et qui prêtaient au Paris d’avant-guerre ses plus é
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trio : un loup déguisé en mouton et deux moutons
vêtus
de leur vraie peau. Mais rien n’empêche le Waldorf Astoria d’annoncer
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ail d’un ministère. Un vieux monsieur très grand,
vêtu
de noir, aux pantalons étroits, aux longs souliers pointus, sort d’un