1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
1 culturel, économique et social qu’anime un risque permanent , essentiel. L’État marxiste idéal ne laisse subsister que les risques
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
2 ls refusent de croire à la nécessité organique et permanente de sa condition dans l’ordre capitaliste, soit que, socialistes, ils
3 le conflit, non le résoudre. Car la question, la permanente et vraie question est celle des relations nécessaires entre l’esprit
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
4 i nous devons enregistrer cet état comme fatal et permanent . Reste à savoir si, justement, nous ne devons pas tenter l’impossible
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
5 i, je songe plutôt à quelque état de mobilisation permanente , préventive… Militarisation de nos pensées, de nos images. Hier, dans
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
6 l est dans la stupeur de ruines qui semblent déjà permanentes . Traces de balles aux façades et pas de maisons derrière, en pleine A
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
7 ne trouvent pas de place ailleurs, les déracinés permanents , diplomates, fonctionnaires à l’essai, quémandeurs, nègres et portier
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
8 er, à glacer, à tempérer, en état de mobilisation permanente , d’un bout à l’autre de l’année. Une bonne partie de ses soucis, de s
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
9 globe et ses vivants ; ni de choisir le nomadisme permanent et l’exil par principe ou dégoût. Mais simplement de vivre au xxe si