1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 e l’habitat, des villes et des climats, exige des études et des plans qui se moquent de nos frontières, comme l’ont fait de to
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
2 fameuse thèse initiale : « L’unité intelligible d’ étude historique n’est ni un État-nation (nation state), ni l’humanité dans
3 évélation des fils de Dieu. » Il en résulte que l’ étude de la matière et du corps humain, matériel, fait partie de la vocatio
4 insister sur la nécessité de faire l’Europe — à l’ étude des réalités déterminantes de la vie de nos États et de l’existence s
5 et cinq-cent-dix sous-spécialisations. Le plan d’ étude est rigoureusement prescrit pour chaque spécialité : l’élève n’a aucu
6 e propagande du parti, qui n’occupent que 6 % des études , 27 % étant consacré aux sciences et 67 % à la spécialisation. Quelqu
7 uns des meilleurs sont autorisés à poursuivre des études supérieures et à préparer un doctorat, trois sur quatre des candidats
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
8 e livre de Proudhon. Depuis lors, les centaines d’ études et de gros volumes parus sur le sujet auraient dû suffire, semble-t-i
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
9 comporte déjà plusieurs centaines de volumes et d’ études substantielles dues à des sociologues, à des politologues, à des écon
10 aint patron fut « le Petit caporal ».) Le champ d’ études régionaliste, que ces quelques exemples définissent, est à peine expl
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
11 dossier de votre unité, les meilleurs instituts d’ étude de l’opinion des six pays de la Communauté économique sondaient vos e