1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 s. Cependant, elles sont plus transitoires que la Bretagne , la Castille, l’Écosse ou Berne, qui existaient bien avant l’État-nat
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
2 a France d’avant Philippe-Auguste « excluait » la Bretagne , l’Alsace, le Languedoc, la Provence, la Bourgogne et la Champagne. C
3 donc proprement respecter les personnalités de la Bretagne et de l’Écosse, du Pays basque et du pays de Galles, de la Catalogne,
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
4 iques nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la Bretagne , les Flandres ou le Pays basque. Convergence et diversification, exig
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
5 ndication d’un État occitan ou les plasticages en Bretagne  ». On sait ce qu’il en est advenu deux ans plus tard. Tout cela dans
6 ses régions (Mezzogiorno, Sud-Ouest de la France, Bretagne , Nord, etc.) fait apparaître le rôle parfois décisif et toujours néfa
7 dimensions actuelles de notre État-nation, d’une Bretagne , d’une Catalogne, d’une Écosse — ou de l’Europe42. Mais nous serons a
8 million d’habitants. Ça ne se tient pas ! » « La Bretagne n’est pas une entité économique viable. Et qui parle breton à Rennes 
9 ype France, Espagne, Grande-Bretagne, non du type Bretagne , Catalogne, pays de Galles ; elles sont donc des États impérialistes,
10 , et met à la place un terme plus petit, comme la Bretagne , ou plus grand, comme l’Europe, est regardé comme un traître. Pourquo