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s. Cependant, elles sont plus transitoires que la
Bretagne
, la Castille, l’Écosse ou Berne, qui existaient bien avant l’État-nat
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a France d’avant Philippe-Auguste « excluait » la
Bretagne
, l’Alsace, le Languedoc, la Provence, la Bourgogne et la Champagne. C
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donc proprement respecter les personnalités de la
Bretagne
et de l’Écosse, du Pays basque et du pays de Galles, de la Catalogne,
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iques nouvelles, et qui enfièvrent tour à tour la
Bretagne
, les Flandres ou le Pays basque. Convergence et diversification, exig
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ndication d’un État occitan ou les plasticages en
Bretagne
». On sait ce qu’il en est advenu deux ans plus tard. Tout cela dans
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ses régions (Mezzogiorno, Sud-Ouest de la France,
Bretagne
, Nord, etc.) fait apparaître le rôle parfois décisif et toujours néfa
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dimensions actuelles de notre État-nation, d’une
Bretagne
, d’une Catalogne, d’une Écosse — ou de l’Europe42. Mais nous serons a
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million d’habitants. Ça ne se tient pas ! » « La
Bretagne
n’est pas une entité économique viable. Et qui parle breton à Rennes
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ype France, Espagne, Grande-Bretagne, non du type
Bretagne
, Catalogne, pays de Galles ; elles sont donc des États impérialistes,
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, et met à la place un terme plus petit, comme la
Bretagne
, ou plus grand, comme l’Europe, est regardé comme un traître. Pourquo