1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 mateur, le Polonais Joseph Retinger — résulte le Congrès de l’Europe, qui se réunit à La Haye au mois de mai 1948. Tout est pa
2 t parti de là, on ne le dira jamais assez. Car le congrès de La Haye fut la synthèse vivante des grands motifs d’union représen
3 cun des trois motifs retenus et rassemblés par le Congrès , donc de chacune des commissions qui le composent, vont sortir, en qu
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
4 cantate peu connue de Beethoven, composée pour le congrès de Vienne, s’intitulait pourtant l’Europe est née ! Montesquieu, et L
5 plutôt des conventions de partis aux USA que nos congrès académiques, dans une atmosphère de passions théologiques follement p
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
6 peut pas non plus faire l’Europe dans le style du congrès de Vienne, concert d’hégémonies frustrées qui n’osent pas dire leur n
7 ques années, je suggérai au comité directeur d’un congrès européen qu’une journée fût réservée à des travaux sur le fédéralisme
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
8 les vingt-cinq États-nations européens, depuis le congrès de La Haye, 1948, n’ont pas fait un seul pas effectif en direction de
9 nine l’avait déjà dit, il y a cent ans, lorsqu’au congrès de la Première Internationale à Genève, en 1867, il dénonçait l’impos
10 rches scientifiques et les grands reportages, les congrès par dizaines et les volumes par centaines sur la régionalisation des
11 ne l’annonçaient dans l’enthousiasme des premiers congrès , aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale. Du moins, cette fédéra