1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 on a même plutôt reculé6. Pourquoi ce recul ? Le défi serait-il moins pressant, les motifs d’union moins nombreux, ou affai
2 . Entre le peu qui est en train de se faire et le défi qui nous est adressé par l’existence des deux grands, et de la Chine,
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
3 social appelle les tyrans. Rome, en réponse à ce défi de l’anarchie, invente l’État et ses institutions centralisées : elle
4 hèmes. — Ceux hérités de l’Antiquité, tels que le défi au destin ou l’acceptation des décrets des dieux, le civisme ou la ré
5 xe, et elle répond dans le monde de l’âme au même défi que la science dans le monde des corps et de l’intellect. Les structu
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
6 aix. Je ne vois pas d’autre réponse imaginable au défi que l’Histoire nous pose dans les termes les plus pressants et sans é
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
7 its dans le domaine économique pour répondre au «  défi américain » — cela n’a plus à être démontré — mais aussi pour répondr
8 lus à être démontré — mais aussi pour répondre au défi du tiers-monde, c’est-à-dire de tous ces États-nations inconsidérémen
9 0. Cf. Remarques de M. Louis Armand, en annexe au Défi américain de J.-J. Servan-Schreiber. 31. Cf. Janus, n° 15, été 1967
10 0. Cf. Remarques de M. Louis Armand, en annexe au Défi américain, de J.-J. Servan-Schreiber. 41. Cf. mon Journal d’une épo