1 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
1 le), puis une fédération de ces petites unités en départements ad hoc, et je retrouve ici les solutions préconisées lors du fameux c
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
2 ance de Napoléon, et faire de nos États autant de départements . Il faut tout unifier par des lois inflexibles, sans égard aux divers
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
3 es provinces de l’Ancien Régime, encore moins les départements découpés par Napoléon, ni les « Länder » allemands, trop grands, ni l
4 géographique beaucoup plus opérationnelle que le département et même que la nation36. Qu’une telle déclaration ait été faite en F
5 exemple, plutôt qu’en quatre-vingt-onze ou douze départements . La région en tant qu’État-nation réduit — c’est-à-dire gouvernée par
6 upant les chefs et responsables de ces agences ou départements serait le Conseil fédéral, ou gouvernement de l’Europe. Les régions r