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ne s’est jamais préoccupé de faire un « apport »
littéraire
à l’on ne sait quel pool idéal), ni à la réalité de la création litté
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quel pool idéal), ni à la réalité de la création
littéraire
, qui est toujours le fait d’un individu (celui-ci certes utilise des
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duisent l’obsession nationale dont l’enseignement
littéraire
devrait se guérir s’il veut se conformer à la vérité et à la réalité
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spécificité et l’unité fondamentale des activités
littéraires
en Europe. c) Les thèmes. — Ceux hérités de l’Antiquité, tels que le
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ramener à ses justes proportions. a) Nos langues
littéraires
, en Europe, sont étroitement apparentées (à la seule exception du gro
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t de Villers-Cotterêts, et Luther crée l’allemand
littéraire
à la même époque. Le norvégien, l’irlandais, le turc d’aujourd’hui so
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qu’apparaît dans toute sa fécondité la communauté
littéraire
de l’Europe : T. S. Eliot l’a démontré dans ses Notes towards the Def