1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 ne s’est jamais préoccupé de faire un « apport » littéraire à l’on ne sait quel pool idéal), ni à la réalité de la création litté
2 quel pool idéal), ni à la réalité de la création littéraire , qui est toujours le fait d’un individu (celui-ci certes utilise des
3 duisent l’obsession nationale dont l’enseignement littéraire devrait se guérir s’il veut se conformer à la vérité et à la réalité
4 spécificité et l’unité fondamentale des activités littéraires en Europe. c) Les thèmes. — Ceux hérités de l’Antiquité, tels que le
5 ramener à ses justes proportions. a) Nos langues littéraires , en Europe, sont étroitement apparentées (à la seule exception du gro
6 t de Villers-Cotterêts, et Luther crée l’allemand littéraire à la même époque. Le norvégien, l’irlandais, le turc d’aujourd’hui so
7 qu’apparaît dans toute sa fécondité la communauté littéraire de l’Europe : T. S. Eliot l’a démontré dans ses Notes towards the Def
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
8 ement plus intéressante à vivre ! 26. Gazette littéraire , Lausanne, 28 octobre 1967. 27. Propos cités par J.-J. Servan-Schrei
9 le ? », écrivait François Mauriac, dans Le Figaro littéraire du 11 décembre 1967. 30. Cf. Remarques de M. Louis Armand, en annexe