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’Europe en une trentaine d’États-nations qui tous
prétendent
à la souveraineté absolue. Vous ne vous sentez pas le citoyen d’une n
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ée, quoique moderne, de la nation étatisée qui se
prétend
souveraine absolument (ses chefs ont le droit de faire massacrer des
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s la mesure précise où il doute qu’il le soit, et
prétend
au contraire s’identifier soit avec l’homme universel, soit avec l’ho
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finalement la moins sociable de toutes celles qui
prétendent
à notre respect. À vouloir l’invoquer pour retarder l’union, on court
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es nos langues (mais surtout de la française) qui
prétendent
redouter que l’Europe unie de demain soit un affreux méli-mélo où l’o
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de plus en plus médiocre, l’école américaine n’en
prétend
pas moins préparer des « personnalités complètes et socialement adapt
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la fin de la France », parce que cette convention
prétendait
limiter la souveraineté de l’État dans le domaine militaire. À ses ye
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a poussé plus loin dans l’absurde. Non content de
prétendre
forcer dans le lit de Procuste d’un État patries locales, nations et
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remplacé par le concept de culture nationale. On
prétend
que les idées ne connaissent pas de frontières, mais l’instruction pu
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ne participation réelle à la vie politique qu’ils
prétendent
monopoliser. Le problème du petit État dans le monde des Grands, c’es
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ement, c’est-à-dire laisser nos États continuer à
prétendre
à une indépendance de moins en moins croyable, et qui se borne en fai
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vrais empires centralistes et monopolisateurs qui
prétendent
aujourd’hui se partager le monde. Si nous n’en sommes encore qu’à la
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réalités humaines et qu’il les serve, au lieu de
prétendre
à les régir en souverain. Je demande la division du phénomène État en
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s et des biens matériels. Les régions ne sauront
prétendre
à l’autarcie, comme les États-nations. Elles seront des pôles de forc
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ritable qu’au jour où leur État-nation cessera de
prétendre
à l’exercer pour eux, quand « le souverain » sera de nouveau le peupl